Marine Delplace, récemment sacrée gagnante de la Star Academy, pensait sans doute tourner la page de ses années étudiantes pour se consacrer à la musique. Ce matin, son nom est réapparu dans un tout autre registre : celui d’une affaire de cautions de casiers universitaires non restituées, évoquée dans l’émission Ça peut vous arriver, présentée par Julien Courbet sur M6 et RTL. La mention de la chanteuse a donné une portée médiatique inattendue à un problème qui touche de nombreux étudiants.
L’affaire dévoilée dans l’émission
Lors de l’émission diffusée sur M6, l’équipe de Julien Courbet s’est intéressée aux témoignages d’étudiants affirmant que leur université conservait indûment les cautions versées pour la location de casiers. Ces cautions, qui doivent normalement être restituées en fin d’année universitaire, seraient conservées sur plusieurs promotions, accumulant une somme significative sans justification apparente.
Plusieurs jeunes ont contacté la production pour raconter leur situation, expliquant qu’ils n’avaient jamais récupéré le dépôt exigé lors de la prise du casier. L’émission a cherché à mesurer l’ampleur du phénomène et à interroger les responsables concernés afin d’obtenir des explications.
La révélation surprenante : Marine Delplace concernée
Au fil des témoignages et des cas concrets présentés à l’antenne, Julien Courbet a prononcé une phrase qui a immédiatement retenu l’attention : « Figurez-vous que Marine a eu son casier… et elle n’a pas été remboursée ! » La conséquence immédiate a été une montée d’intérêt médiatique, liée à la notoriété de la jeune lauréate de la Star Academy.
Le présentateur a précisé que Marine Delplace faisait partie des étudiants ayant payé une caution pour un casier et qui n’auraient pas reçu le remboursement attendu. La mention, livrée sur un ton à la fois surpris et presque amusé, a mis en exergue la dimension ordinaire et répandue de la situation : même une récente personnalité télévisuelle peut se retrouver confrontée à ce type d’ennui administratif.
Réactions et suite
La révélation a suscité des réactions immédiates sur les réseaux sociaux, où l’ironie de la situation a été largement commentée. De nombreux internautes ont relevé le contraste entre l’image publique de la chanteuse et le caractère banal de l’arnaque présumée subie par des milliers d’étudiants anonymes.
En plateau, la discussion s’est poursuivie et une chroniqueuse a indiqué que l’université mise en cause avait contacté la production de l’émission. Selon cette intervention, les étudiants concernés auraient été remboursés. Le format de l’émission n’a pas permis d’apporter davantage de précisions sur les montants concernés, les dates de remboursement ou les modalités de restitution.
Pour mémoire, l’émission Ça peut vous arriver est diffusée sur M6 et sur RTL, et est animée par Julien Courbet. La séquence consacrée aux cautions de casiers a repris plusieurs témoignages d’anciens étudiants, dont celui qui mentionne Marine Delplace, et a tenté d’obtenir des réponses de la part de l’établissement incriminé.
Que sait-on exactement ?
Les éléments rendus publics par l’émission restent factuels mais partiels. On sait que des étudiants ont dénoncé la non-restitution de cautions liées à la location de casiers, que ces sommes ont été cumulées sur plusieurs promotions et que la production a reçu plusieurs signalements.
On sait aussi que Julien Courbet a cité Marine Delplace comme l’une des personnes concernées et que l’université aurait affirmé, après diffusion, avoir procédé aux remboursements. Les informations diffusées à l’antenne ne permettent pas de vérifier l’ampleur financière précise du préjudice ni d’identifier formellement l’université visée. Ces points restent à clarifier par une enquête administrative ou judiciaire si elle devait être ouverte.
La mention d’un tweet partagé autour de la séquence illustre la viralité du sujet : « Improbable : Marine, gagnante de la #StarAcademy, se retrouve parmi les victimes d’une affaire de cautions de casiers non restituée ce matin dans #CPVA chez @courbet_julien ! pic.twitter.com/binBAUEUSt ». Ce partage témoigne de l’intérêt du public, mais n’apporte pas d’éléments nouveaux quant aux remboursements ou à l’identité précise de l’établissement.
En l’état, l’affaire met en lumière une problématique administrative concrète pour les étudiants et souligne l’effet amplificateur des médias quand une personnalité connue se retrouve mêlée à un dossier initialement collectif et anonyme. Les précisions apportées par l’université à la production ont été mentionnées à l’antenne, mais plusieurs questions pratiques et financières demeurent sans réponse publique.
