André Manoukian multiplie les apparitions médiatiques en ce début d’octobre, entre promotion télé et sortie d’album. Invité de C à vous sur France 5 le 9 octobre, il sera également l’invité d’Un dimanche à la campagne le 12 octobre. Au centre de l’actualité : La Sultane, son nouvel album consacré à l’Arménie, publié le 10 octobre, qui marque un retour discographique trois ans après Anouch. Il évoque cette actualité dans un entretien accordé à TV Mag, où il aborde aussi sa vie sentimentale et familiale.
Un album dédié à ses racines arméniennes
La Sultane est présenté comme un hommage musical à ses origines. Le pianiste et compositeur, que le grand public connaît aussi pour son rôle de juré dans Nouvelle Star, a choisi de placer l’Arménie au cœur de son nouveau projet. Ce retour aux sources intervient après Anouch, sorti il y a trois ans, et s’inscrit dans une période où Manoukian se montre très présent à l’écran pour défendre ce travail.
Ses passages télévisés — C à vous le 9 octobre et Un dimanche à la campagne le 12 octobre — témoignent d’une campagne de promotion active. Dans l’interview accordée à TV Mag, il revient sur la genèse du disque et sur le lien qu’il entretient avec la culture de son pays d’origine. Ces détails viennent compléter l’annonce officielle de la sortie, le 10 octobre.
Un homme public, père de trois enfants
Outre sa carrière, André Manoukian est aussi connu pour sa vie familiale. Le Lyonnais est le père de trois enfants. Sa fille Julie est née en 1982 de sa relation avec sa première épouse, Sophie. Plus tard, il devient le père d’Anton et d’Aris, nés respectivement en 2000 et 2001, issus de sa relation avec Stéphanie.
Ces éléments biographiques permettent de replacer l’artiste dans un parcours personnel marqué par des engagements durables et des changements affectifs, autant de sources possibles d’inspiration pour son œuvre musicale.
Une histoire d’amour longue et complexe avec Liane Foly
Parmi ses relations les plus médiatisées figure celle avec la chanteuse Liane Foly. Leur histoire, entamée dans les années 1980, a duré plus d’une décennie. Leur rupture remonte, selon ses déclarations, à « il y a trente ans ». Depuis, leurs rapports ont connu « des hauts et des bas ». « Avec Liane Foly, il y a des hauts et des bas mais, en ce moment, on est sur un haut », confie-t-il.
André Manoukian précise qu’un mariage avait été évoqué par le couple. Mais la trajectoire a changé lorsque Liane Foly a « été partie faire un film à Moscou et elle est tombée amoureuse du troisième assistant ». Le musicien tient à rectifier une perception répandue : « On a rompu, tout le monde croit que c’est moi qui suis parti alors que c’est elle. »
La séparation a eu un impact profond sur lui. Il raconte avoir consulté un psy pour faire face à la douleur de la rupture. « Ça a été douloureux. […] Un jour, j’ai fait cette réflexion à mon psy : ‘Moi, c’est elle’. Il m’a répondu que ça n’allait pas du tout et que j’étais dans une relation qu’il a qualifiée de morbide. Parce que la vie ne passait qu’à travers elle. Nous étions dans une interdépendance. » Ces confidences dessinent le portrait d’une liaison intense, marquée par une forte dépendance affective réciproque.
Entre scène et confidences
Aujourd’hui, André Manoukian revient au premier plan pour sa musique. L’image du compositeur, régulièrement présente à la télévision, se double désormais de celle d’un homme qui assume ses blessures passées et qui s’en sert pour nourrir sa création artistique. La sortie de La Sultane doit donc être lue autant comme un geste esthétique que comme un acte personnel.
Les informations présentées ici proviennent des interventions publiques de l’artiste et de son entretien avec TV Mag. Elles permettent de mettre en perspective sa trajectoire artistique et sentimentale sans extrapoler au-delà des déclarations recueillies.
