C’est une nouvelle étape professionnelle pour Léonard Trierweiler. À 28 ans, le fils de l’ancienne Première dame Valérie Trierweiler tourne la page d’un chapitre new-yorkais prestigieux pour lancer son propre restaurant en France. Après cinq années passées au sein du Bernardin, l’un des temples de la gastronomie mondiale, il revient dans le Val-d’Oise pour ouvrir L’Atelier, son premier établissement, à L’Isle-Adam.
Du Bernardin à L’Atelier : un parcours dans la haute gastronomie
Le grand public le connaît d’abord comme le fils de Valérie Trierweiler, mais Léonard s’est fait un nom dans les cuisines étoilées. Il a rejoint Le Bernardin à New York en 2019 comme commis, alors qu’il avait 22 ans. Cette maison triplement étoilée au Michelin figure depuis des années parmi les meilleurs restaurants du monde, un contexte exigeant dans lequel le jeune chef a progressé rapidement.
En cinq ans, il a gravi les échelons jusqu’au poste de sous-chef, démontrant selon les témoignages de l’époque sérieux, créativité et rigueur. Ce parcours est présenté comme impressionnant pour un cuisinier de son âge et témoigne d’une formation intense au contact d’un établissement d’excellence.
Le 17 août dernier, le magazine 66 Minutes (M6) a diffusé un reportage consacré aux coulisses du Bernardin. Les caméras ont filmé le dernier service de Léonard au sein du restaurant. On y voit la tension propre aux services de haute gastronomie, mais aussi des étreintes et des adieux chaleureux avec ses collègues, moments empreints d’émotion qui ont touché les téléspectateurs.
L’Isle-Adam, Val-d’Oise : un premier restaurant ancré dans la proximité
Pour installer son projet, Léonard Trierweiler a choisi L’Isle-Adam, une commune du Val-d’Oise située à environ trente kilomètres de Paris. Le nom de l’établissement, L’Atelier, évoque un lieu de travail artisanal et convivial, centré sur le produit et le savoir-faire plutôt que sur le faste.
Sur le compte Instagram de l’Atelier — identifié comme @latelierlerestaurant.lisleadam — les premières publications montrent des assiettes soignées, généreuses et colorées. Le jeune chef y définit sa promesse : « l’art du bon vivre à la française ». L’intention affichée est claire : proposer une cuisine maîtrisée, accessible et tournée vers le plaisir.
L’Atelier a opté pour une politique tarifaire volontariste. Le midi, une formule complète est proposée à partir de 15 euros, un positionnement qui illustre la volonté du restaurateur de rendre la gastronomie plus démocratique et d’attirer une clientèle locale.
Une fierté familiale, une ambition professionnelle
L’ouverture de L’Atelier est vécue comme une fierté par la famille Trierweiler. Si la notoriété de Valérie Trierweiler peut attirer l’attention des médias, le projet de Léonard repose sur une expérience professionnelle solide et une volonté affichée de créer un lieu à sa mesure.
Les images du reportage de M6 ont mis en lumière ce passage de relais : quitter la discipline d’une grande maison pour voler de ses propres ailes, avec l’émotion et la solennité d’un dernier service filmé. Ces scènes racontent la fin d’un chapitre et le début d’un engagement personnel dans une région choisie pour sa proximité avec Paris.
L’Atelier ouvre donc ses portes avec l’ambition de marier techniques apprises au plus haut niveau et désir d’accessibilité. Le positionnement et les premières photographies publiées donnent à voir un restaurant qui veut mêler exigence et convivialité.
Si l’expérience américaine de Léonard Trierweiler est documentée par son long passage au Bernardin et par le reportage de M6, les détails sur la carte complète et la philosophie culinaire précise de L’Atelier devraient se préciser au fil des services et des retours de la clientèle.
Pour suivre l’évolution du lieu, le compte Instagram mentionné publie régulièrement des images des plats et de l’ambiance : @latelierlerestaurant.lisleadam (https://www.instagram.com/latelierlerestaurant.lisleadam).
