Dans le podcast Addiktion, Simon Castaldi révèle la banqueroute de 2011 : pas de chauffage ni d’eau chaude, privations qui ont marqué son adolescence

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Benjamin Castaldi et sa famille ont traversé une période difficile qu’ils n’ont jamais cachée. L’animateur a dévoilé à plusieurs reprises ses problèmes financiers sur le plateau de TPMP, chez Cyril Hanouna. Ces confidences ont laissé des traces chez ses enfants, en particulier chez son fils Simon, qui est revenu sur ce souvenir marquant lors du podcast Addiktion, animé par Laurent Karila.

Un récit intime livré dans le podcast Addiktion

Invité du podcast Addiktion, Simon Castaldi a accepté d’aborder un épisode douloureux de son adolescence. « Mon premier trauma, c’est la banqueroute de mon père », confie-t-il au professeur et psychiatre Laurent Karila. Ces mots tracent le contour d’un vécu familial marqué par l’angoisse et l’absence.

Simon explique que, pour lui, la période critique a commencé en 2011. « En 2011, mon père se fait escroquer et perd beaucoup d’argent. Il doit fuir la France, il part faire de la production à Los Angeles et, nous, on ne le voit plus », relate-t-il. L’idée d’une fuite, liée à des difficultés financières et professionnelles, souligne l’importance de l’éloignement du père au moment où la famille en aurait eu le plus besoin.

Le témoignage de Simon sur Addiktion met en lumière non seulement la douleur de la séparation, mais aussi la manière dont un enfant interprète l’angoisse des adultes. Il évoque des images précises et durables : la silhouette d’un père affaibli, l’absence répétée, et la sensation d’un foyer fragilisé.

2011 : la descente aux enfers évoquée par le fils

Selon le récit de Simon, l’année 2011 constitue un tournant. Il y voit le moment où tout bascule : « Mon père se fait escroquer et perd beaucoup d’argent. » Face à cette situation, Benjamin Castaldi aurait choisi de quitter la France pour se consacrer à la production à Los Angeles, une décision qui a renforcé la distance familiale.

Avant ce départ, Simon garde le souvenir d’un père transformé physiquement et moralement. « Dans les souvenirs que j’ai de mon père avant qu’il parte, il faisait La roue de la fortune sur TF1. Je le voyais le week-end, blanc, livide, creusé. Ça n’allait pas du tout », confie-t-il. Le contraste entre la notoriété publique et la fragilité privée est au cœur de ce passage. L’image d’un animateur affaibli est d’autant plus marquante qu’elle s’oppose à l’image professionnelle que le public connaissait.

Simon rappelle que Benjamin a lui-même raconté ses dettes à la télévision. Ces aveux publics, ajoutés à l’absence physique du père, ont contribué à forger le souvenir d’une période de « banqueroute » familiale.

Conditions de vie et résilience des enfants

Le témoignage contient des détails concrets sur les conditions matérielles vécues à la maison. Simon évoque une maison « dans une baraque énorme » mais dépourvue de confort : « On n’avait pas de chauffage, pas d’eau chaude, c’était un peu bizarre, mais on ne se rendait pas compte. » Ces éléments traduisent une réalité souvent difficile à concilier avec l’image publique d’un parent médiatisé.

Pourtant, Simon insiste sur le fait qu’il n’a matériellement manqué de rien. « J’ai un souvenir où il pleure parce qu’on sait qu’il a tout perdu … Je ne lui en veux pas du tout. Ça a été le premier choc et je l’ai plus du tout vu pendant très longtemps. Jusqu’à ma troisième je l’ai presque plus vu (…) C’était dur, mais je n’ai manqué de rien », assure-t-il.

Il évoque aussi des moments plus légers, qui ont permis d’atténuer la tension familiale. « On pouvait jouer avec lui à la play, on était content pour ça. Parce que, pendant mon enfance, il y avait toujours ses potes et jamais lui, seul », se souvient Simon. Ces instants de complicité soulignent la capacité des parents à préserver des bulles de normalité, même en période de crise.

Un regard sans rancœur

Malgré le traumatisme, Simon adopte un ton de pardon et de compréhension. Il ne nourrit pas de rancœur envers son père. Son témoignage mêle douleur et reconnaissance pour les efforts entrepris par Benjamin Castaldi afin que ses enfants « ne manquent jamais de rien ». Cette ambivalence met en lumière la complexité des liens familiaux, où l’amour, la difficulté et la responsabilité s’entremêlent.

Le récit de Simon, livré dans un cadre intime, jette une lumière humaine sur une période médiatique troublée. Il rappelle que les drames financiers et les conséquences personnelles qui en découlent touchent aussi les familles de personnalités publiques, parfois loin des projecteurs.

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