Quelques jours après ses révélations concernant sa relation qualifiée de « toxique » avec le chef Jean Imbert, Alexandra Rosenfeld est revenue sur le plateau de Quotidien ce mercredi 3 septembre 2025 pour détailler ce qu’elle dit avoir vécu durant leur idylle. L’ancienne Miss France, aujourd’hui en couple avec le journaliste Hugo Clément, a livré un témoignage centré sur ce qu’elle décrit comme des violences psychologiques et des comportements oppressifs.
Sur le plateau de Quotidien, le récit d’une « emprise insidieuse »
Alexandra Rosenfeld a commencé son intervention par une mise en garde sur la difficulté de nommer et de comprendre ce type de relation : « Je vais parler d’emprise insidieuse », a-t-elle déclaré, ajoutant : « C’est très compliqué à expliquer. J’ai du mal encore à mettre des mots. Je pense qu’il faut l’avoir vécue pour comprendre ce que c’est. »
Durant l’entretien animé par Yann Barthès, elle a décrit un quotidien où se mêlaient humiliations verbales et dévalorisation systématique. « C’est des rabaissements quotidiens pour tout. Tout ce qui venait de moi est nul. Il se moquait de mon milieu social, parce que mes parents étaient fonctionnaires et pas chefs d’entreprise, de mes amis qui n’étaient pas connus. Si j’étais habillée en sport, j’étais une cassos, si je me faisais jolie j’étais une pute. En fait, tout était des rabaissements, des insultes », a-t-elle expliqué.
Humiliations répétées et contrôle
Les propos tenus par l’ex-reine de beauté mettent en lumière une stratégie de dénigrement permanente. Elle raconte que presque chaque aspect de sa vie était tourné en dérision ou utilisé pour la culpabiliser. Ces descriptions soulignent l’impact psychologique : se sentir continuellement rabaissée et mise à l’écart par la personne en qui l’on a confiance.
Elle a également évoqué des comportements plus intrusifs et effrayants lorsqu’une rupture était annoncée. « Et en plus, c’est vraiment ça, c’est qu’il fait peur. Quand tu le quittes, il est caché dans ton parking… il est devant chez toi, dans l’entrée. Il venait même devant l’école de ma fille. Il a appelé ma mère en pleurant », a-t-elle affirmé. Ces éléments, rapportés par Alexandra Rosenfeld, décrivent une présence oppressante et des tentatives de reprise de contrôle après des séparations.
La difficulté à « partir réellement »
Interrogée sur ses tentatives de rupture, Alexandra Rosenfeld a reconnu à quel point il est compliqué de s’extraire d’une relation marquée par l’emprise. « Moi-même, j’aurais pu dire il y a plusieurs années, à la première baffe ou à la première injure, je pars. Et puis, en fait, je l’ai quitté des dizaines et des dizaines de fois et je n’arrivais pas à partir vraiment. »
Elle a précisé que la rupture définitive n’a été possible « que quand il l’a décidé ». Sur l’escalade vers des actes plus visibles, elle a ajouté : « Le coup de tête vient assez vite. » Mais, a-t-elle insisté, « ce qui m’a beaucoup plus abîmée, beaucoup plus blessée, c’était ce qui ne se voit pas. » Cette distinction met en avant l’effet durable des violences psychologiques, parfois plus ravageur que les violences physiques visibles.
Contexte et éléments factuels
Les propos rapportés ci-dessus proviennent de l’intervention d’Alexandra Rosenfeld sur le plateau de Quotidien, le 3 septembre 2025. Elle se présente comme ancienne Miss France et a rappelé qu’elle vit aujourd’hui une relation avec Hugo Clément, information qu’elle-même a mentionnée lors de l’émission.
Dans son témoignage, elle relate des comportements et des faits qu’elle impute à Jean Imbert. Il s’agit de déclarations personnelles et d’un récit subjectif ; elles décrivent des expériences et des perceptions qu’elle a souhaité rendre publiques à travers ce rendez‑vous télévisé.
Ce témoignage intervient quelques jours après des révélations initiales de la part d’Alexandra Rosenfeld sur la nature de cette relation. Elle a choisi le média télévisuel pour détailler l’enchaînement des humiliations, des tentatives de séparation et du contrôle exercé selon elle.
La teneur et la portée de ces accusations reposent sur la parole d’Alexandra Rosenfeld telle qu’exprimée à l’antenne. Les éléments rapportés ici se limitent à ce qu’elle a déclaré publiquement au moment de l’émission.
Conséquences personnelles et image publique
En racontant son expérience, Alexandra Rosenfeld met en lumière la dimension privée et durable des blessures causées par des humiliations répétées. Son témoignage souligne aussi la difficulté pour une personnalité publique de se protéger des retombées médiatiques et de préserver sa vie familiale, notamment lorsqu’elle évoque la présence de la personne incriminée près de l’école de sa fille.
Son intervention sur Quotidien devrait relancer le débat public sur la manière dont sont traitées les violences psychologiques et l’emprise au sein des relations amoureuses, particulièrement lorsque les protagonistes sont connus du grand public.
Les informations présentées ici reprennent fidèlement les déclarations d’Alexandra Rosenfeld à l’antenne, sans ajout d’éléments extérieurs non cités par l’intéressée.