Ce jeudi 13 novembre 2025, Sarah Fraisou est apparue plus vulnérable que jamais sur les réseaux sociaux. En larmes, l’ancienne candidate de téléréalité a livré un témoignage très dur, affirmant ne plus supporter la pression médiatique, les moqueries et le harcèlement en ligne dont elle dit être victime depuis des années.
Un témoignage déchirant
Dans une vidéo largement partagée, Sarah Fraisou raconte son épuisement face aux attaques répétées portant sur sa vie privée et ses relations sentimentales. « Je suis fatiguée. Fatiguée qu’on me tombe dessus à chaque fois. Fatiguée que ma vie serve de spectacle. » confie-t-elle, visiblement en pleurs.
Elle assure aussi avoir connu une détresse profonde, au point d’envisager « l’impensable ». Ses mots sont crus et inquiétants : « Y’a pas un matin où j’espère ne pas me réveiller et ne plus voir la lumière du jour (…) Je suis en roue libre ! Arrêtez, car un jour, vous allez entendre Sarah a mis un terme à sa vie car tout le monde m’aura poussé… ». Ce passage, destiné selon elle à lancer un appel à l’aide, a déclenché une vague d’émotion mais aussi des réactions contrastées.
Réponses cinglantes et relance d’un conflit ancien
Quelques heures après la diffusion de la vidéo, deux figures déjà en conflit avec Sarah Fraisou ont réagi publiquement. Kim Glow, ancienne candidate des Marseillais et protagoniste d’anciennes tensions avec Sarah — notamment lors de l’émission Les Anges où elle l’avait accusée de harcèlement — a choisi la moquerie : « Elle fait pitié cette pauvre meuf. » Une phrase qui a été interprétée par de nombreux internautes comme une attaque gratuite, compte tenu de l’état émotionnel de Sarah.
Rawell, elle aussi en conflit ancien avec Sarah et qui avait, elle aussi, porté des accusations de harcèlement par le passé, a répondu de façon tout aussi peu compassionnelle. Sur les réseaux, elle a écrit : » Mdr, pleure, pleure, ça fait du bien ! » Cette repartie a été jugée méprisante par une partie du public, puisqu’elle survient alors que Sarah se dit au plus bas.
Les répliques de Kim Glow et Rawell relancent donc une querelle qui, selon les intéressées et leurs abonnés, n’a jamais été totalement éteinte. Les échanges rappellent que les conflits entre anciennes candidates de téléréalité peuvent rapidement investir l’espace public et trouver un large écho en ligne.
La riposte de Sarah Fraisou
Face aux attaques, Sarah Fraisou a répondu dans une story, mêlant émotion et détermination. Elle écrit : » Oui, ça fait du bien de pleurer, pour revenir avec une meilleure version de moi-même. Mais continuez toutes les deux à harceler, ça montre juste le cœur noir que vous avez « .
Elle ajoute : » Après ce message, vous allez sauter sur l’occasion pour faire du buzz. Kiffez, vous avez raison. Mais il y a un bon Dieu sur cette terre qui voit tout « . Ces propos témoignent d’une volonté de ne pas se laisser écraser, tout en demandant que cessent les attaques visant sa personne.
Contexte et portée médiatique
Le épisode met en lumière plusieurs phénomènes : la fragilité psychologique que peut entraîner une exposition médiatique constante, la facilité avec laquelle les conflits se propagent sur les réseaux sociaux, et la polarisation des réactions du public. Les accusations évoquées entre ces anciennes candidates — récurrentes depuis leurs apparitions dans des émissions de téléréalité — nourrissent un feuilleton médiatique qui se cristallise à chaque nouvelle polémique.
Les propos de Sarah ont suscité de l’émotion et ouvert un débat sur la responsabilité des personnalités publiques et des commentateurs en ligne. Ils rappellent aussi que les mots peuvent avoir des conséquences lourdes lorsqu’ils sont diffusés à grande échelle.
Sans jugement, ni condamnation formelle, cette nouvelle crise entre Sarah Fraisou, Kim Glow et Rawell illustre la difficulté pour d’anciens candidats de téléréalité à se détacher d’un passé médiatique tumultueux. Sarah, pour sa part, affirme vouloir se reconstruire et demande que cessent les attaques personnelles, même si la trajectoire des réactions publiques reste pour l’heure imprévisible.
