Léa Salamé au 20h de France 2 : critiquée pour ses questions à Marion Cotillard et la confusion Guaino, Thomas Sotto la défend

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Depuis la rentrée 2025, Léa Salamé présente le journal de 20h sur France 2, succédant à Anne-Sophie Lapix. Le changement de présentation a nourri le débat public, mêlant attentes d’audience, critiques sur le fond et observations sur la forme. Quelques maladresses répétées lors d’interviews ont en particulier attiré l’attention et alimenté les commentaires, tant sur les réseaux sociaux que dans la presse.

Des questions jugées maladroites face à Marion Cotillard

Le 15 septembre dernier, la journaliste a interrogé Marion Cotillard au sujet de sa séparation d’avec Guillaume Canet, annoncée l’été précédent. Dans un échange qui a suscité des réactions, Léa Salamé a d’abord rappelé : « Ma question était qu’on a appris cet été votre séparation après 18 ans de vie commune. Vous êtes un des couples qui a fait le plus rêver les Français. Je voulais juste savoir comment vous alliez ? »

Puis elle a ajouté, en insistant : « Est-ce que vous allez bien Marion Cotillard ? » L’actrice a répondu : « Merci, ça va », puis a renvoyé la question : « Et vous, vous allez bien ? » La présentatrice a simplement répondu : « Ça va aussi. » Cet instant, perçu par certains comme une intrusion dans la sphère privée, a alimenté les débats sur la frontière entre information et vie privée des célébrités.

Confusion sur le plateau : une autre « boulette »

Quelques jours plus tard, le 25 septembre, Léa Salamé a été contrainte de s’excuser après une confusion de noms sur le plateau avec Henri Guaino. S’adressant à son invité, elle avait lancé : « Claude Guéant encore un mot sur cette condamnation », ce à quoi Henri Guaino a rétorqué : « Ça tombe bien, ce n’est pas moi. » La journaliste a alors corrigé son erreur : « Henri Guaino pardonnez-moi. »

Ces deux épisodes, parmi d’autres remarques ou hésitations relevées par des observateurs, ont valu à la présentatrice de nombreuses critiques. Pour certains, ils attestent d’un manque de préparation ; pour d’autres, il s’agit de simples erreurs humaines rapidement corrigées sur le vif.

Le soutien public d’un collègue

Face aux attaques, Thomas Sotto, ami et ancien collègue de Léa Salamé, a pris sa défense lors d’une intervention dans le Buzz TV du Figaro. Il a dénoncé la sévérité des critiques et appelé à une certaine mesure dans les réactions publiques. « J’ai vu un papier qui disait, je crois, la nouvelle boulette de Léa Salamé », a-t-il déclaré.

Pour illustrer la fragilité d’un exercice en direct, il a partagé une anecdote personnelle : « Ça va, tu confonds Henri Guaino et Claude Guéant, ça peut tous nous arriver. Moi, ce matin, j’avais Sébastien Chenu. Je me suis dit depuis hier, il ne faut pas que je l’appelle Sébastien Lecornu, ça aurait pu m’arriver. »

Sotto a plaidé contre ce qu’il perçoit comme une volonté de détruire la personne plutôt que de critiquer le travail : « On a le droit d’aimer ou de ne pas aimer un journal, on a le droit d’aimer ou de ne pas aimer un présentateur, une présentatrice, on a le droit de regarder ou pas de regarder, mais on n’a pas le droit de défoncer, on n’a pas le droit de lyncher, on n’a pas le droit de détruire l’humain. » Il a conclu en appelant à la clémence : « Léa, je veux dire, on n’a rien inventé ce matin en disant qu’elle s’est présenté un journal, qu’elle s’est présenté une tranche, qu’elle s’est animée. Lâchez-lui la grappe quoi. »

“Lâchez-lui la grappe !” : Thomas Sotto agacé par les attaques à l’égard de son amie Léa Salamé #BuzzTV pic.twitter.com/Ld4AkhHshv

Un contexte médiatique tendu

Le cas de Léa Salamé s’inscrit dans un paysage médiatique où chaque mot est scruté et où les erreurs en direct peuvent rapidement devenir virales. À la rentrée, la présentatrice a hérité d’une tranche stratégique pour France 2; l’attente en termes d’audience est forte. Les maladresses relevées ont donc pris une résonance particulière, mêlant jugements professionnels et attaques plus personnelles.

Reste que plusieurs voix, dont celle de Thomas Sotto, rappellent la nécessité de conserver un minimum d’indulgence pour les journalistes travaillant en direct. La question de la frontière entre exigence professionnelle et lynchage médiatique demeure au centre des discussions entourant le 20h de France 2 et de son présentateur.

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