Alexandra Rosenfeld accuse Jean Imbert d’humiliations et d’emprise sur le plateau de Quotidien : son camp nie, concède un coup de tête

Table of Content

En avril dernier, le magazine Elle publiait une vaste enquête dans laquelle plusieurs femmes accusaient le chef et personnalité médiatique Jean Imbert de violences physiques et psychologiques. Parmi les plaignantes figurait Alexandra Rosenfeld, ancienne Miss France, qui avait d’abord témoigné sous couvert d’anonymat avant de révéler son identité.

Quelques jours après la parution de l’enquête, Alexandra Rosenfeld est revenue sur son expérience sur le plateau de Quotidien, invité par Yann Barthès. Son témoignage, sensible et précis, a permis d’éclairer le mécanisme d’emprise qu’elle dit avoir subi.

Sur le plateau de Quotidien : un récit centré sur l’emprise

Face à l’animateur, l’ancienne reine de beauté a longuement décrit ce qu’elle appelle « l’emprise » de son ex-compagnon. « C’est très compliqué à expliquer. J’ai du mal encore à mettre des mots. Je pense qu’il faut l’avoir vécu pour comprendre ce que c’est », a-t-elle déclaré.

Alexandra Rosenfeld a détaillé les humiliations quotidiennes qu’elle raconte avoir subies. « C’est des rabaissements quotidiens pour tout. Tout ce qui venait de moi était nul », a-t-elle confié, citant des moqueries sur son milieu social, ses amis et son apparence. Elle a notamment rapporté : « Si j’étais habillée en sport, j’étais une cassos. Si je me faisais un peu jolie, j’étais une p*te. »

La candidate a expliqué pourquoi il lui a été si difficile de couper définitivement les liens, malgré les actes et les paroles blessantes. « Quand je me fâchais, que je partais, il pleurait. Et en fait, moi-même, j’aurais pu dire il y a plusieurs années, à la première baffe ou à la première injure, je pars », a-t-elle raconté. « Et puis en fait, je l’ai quitté des dizaines et des dizaines de fois et je n’arrivais pas à partir vraiment. L’emprise, c’est vraiment ça. C’est qu’il fait peur. »

Elle a également décrit des comportements d’obsession et de surveillance une fois la relation rompue à plusieurs reprises : « Quand tu le quittes il est caché dans un parking, il est devant chez toi, dans le hall d’entrée… Il venait même devant l’école de ma fille. Et il appelait ma mère en pleurant. J’ai pu partir réellement après de nombreuses tentatives, que quand lui l’a décidé. »

La réaction de Jean Imbert et de son équipe

Interrogé par le magazine Elle et relayé ensuite dans les médias, le camp de Jean Imbert a publié une mise au point. Les représentants du chef ont contesté la plupart des faits rapportés par les plaignantes, tout en reconnaissant un coup de tête porté à l’une de ses ex-compagnes, identifiée par Elle comme étant Alexandra Rosenfeld.

Dans leur communication, ils ont qualifié cet acte comme regrettable et l’ont replacé dans un contexte de violences subies par Jean Imbert lors d’une altercation. La note citée dans Elle affirme : « Cette scène intervient dans un moment de violences subies par Jean Imbert, alors qu’il était empoigné par X, et qu’il s’en dégageait. Il en regrette profondément les conséquences pour elle. »

Pour le reste, les proches de Jean Imbert ont nuancé les témoignages en évoquant des relations amoureuses compliquées, marquées par des tensions réciproques. Ils ont ainsi rejeté l’idée d’un « schéma de violences » systématique, selon leur version.

Contexte et portée des révélations

Le dossier du magazine Elle a rassemblé plusieurs témoignages et a relancé le débat public autour du comportement de personnalités du monde médiatique. Dans ce contexte, le récit d’Alexandra Rosenfeld a retenu l’attention, en raison de sa notoriété et de la portée émotionnelle de son témoignage.

Elle a précisé que sa fille, citée lors de l’entretien, est née de la précédente union de son ex-compagnon avec le rugbyman Sergio Parisse, détail fourni par le magazine. Alexandra Rosenfeld a insisté sur la difficulté et la lenteur de sa prise de distance effective, évoquant de nombreuses tentatives de départ avant de parvenir à rompre définitivement la relation.

Sans annonce de procédure judiciaire publique dans les éléments rapportés par le magazine et par les interventions médiatiques, l’affaire reste d’abord portée par la parole des intéressées et par la réponse de l’entourage de Jean Imbert. Les témoignages et les démentis publiés donnent à voir des versions divergentes autour d’une relation devenue source de polémique.

Quoi qu’il en soit, la prise de parole d’Alexandra Rosenfeld sur un plateau national a contribué à mettre en lumière la façon dont l’emprise peut se manifester, et à replacer ces révélations dans le champ médiatique et social où elles suscitent un vif intérêt.

Society News

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Featured Posts

Featured Posts

Chaque jour l’actualité des célébrités, les buzz du moment et les tendances qui font parler. Mode, vie privée, événements et révélations : retrouvez en un clic l’essentiel du monde people et lifestyle.

Featured Posts