La révélation du sort de Gabrielle Henry, candidate jamaïcaine au concours Miss Univers, survient au lendemain de l’élection de Fatima Bosch, couronnée Miss Univers 2025. La jeune femme de 28 ans avait chuté lors de l’épreuve préliminaire, le 19 novembre en Thaïlande, après avoir raté une marche sur scène. Les images de la chute avaient fait le tour des réseaux et déclenché une forte émotion internationale.
Un état de santé jugé fragile par l’équipe médicale
Les nouvelles communiquées par l’entourage médical restent prudentes. « L’état de Gabby n’est pas aussi bon que nous l’espérions, mais l’hôpital continue de la soigner en conséquence », a déclaré le Dr Henry‑Samuels, citée par People.
Selon le même récit, Gabrielle Henry a été placée en unité de soins intensifs. Le personnel hospitalier a estimé qu’elle devait y rester « au moins sept jours », afin que « les médecins continuent de la surveiller de près et de lui prodiguer des soins spécialisés ». Ce délai doit permettre de stabiliser son état et d’effectuer tous les examens nécessaires.
Hospitalisation à Bangkok et bilan médical
Après sa chute, la candidate a été transportée d’urgence à l’hôpital Paolo Rangsit, en Thaïlande. L’organisation Miss Univers Jamaïque a précisé que « les professionnels de la santé s’occupent d’elle » et ont indiqué qu’elle ne présente « aucune blessure mettant sa vie en danger ; cependant, ils continuent d’effectuer des tests pour assurer son rétablissement complet ». Ces contrôles visent notamment à vérifier l’absence de lésions internes ou de complications post‑traumatiques.
Raul Rocha, propriétaire du concours Miss Univers, s’est rendu à l’hôpital pour voir la jeune femme. Il a assuré qu’elle n’avait « aucun os cassé » et qu’elle était « bien soignée ». Ces déclarations veulent rassurer, mais elles coexistent avec la mise en garde des médecins sur la nécessité d’une surveillance prolongée.
Appel à la discrétion et au soutien
L’organisation Miss Univers Jamaïque a sollicité la solidarité du public. Elle a invité les Jamaïcains, sur l’île et dans la diaspora, à « poursuivre leurs prières pour Gabrielle » et à lui envoyer « soutien, amour et courage ». Dans un communiqué, elle a aussi demandé au public et aux utilisateurs des réseaux sociaux de s’abstenir de partager « des commentaires négatifs, des informations erronées ou des spéculations susceptibles d’accroître la détresse de la famille ».
« Notre priorité demeure le rétablissement de Gabrielle et le bien‑être de ses proches. Nous vous prions de continuer à faire preuve de compassion, de sensibilité et de respecter la vie privée de la famille durant cette période difficile », poursuit le communiqué. L’organisation insiste donc sur le respect et la retenue, face à une situation qui suscite beaucoup d’attention et d’inquiétude.
Les circonstances de la chute — lors d’un défilé en costume sur la scène des épreuves préliminaires, le 19 novembre — ont rappelé la fragilité des candidates exposées aux projecteurs et à des conditions où la fatigue et le stress peuvent jouer un rôle. Les responsables du concours et l’équipe médicale restent les sources principales d’information.
Pour l’instant, aucune information supplémentaire sur le calendrier de rétablissement n’a été communiquée. Les déclarations publiques privilégient la prudence et la protection de l’intimité de Gabrielle Henry et de sa famille. Les prochains jours, notamment la période d’au moins sept jours annoncée par l’hôpital, devraient donner une idée plus précise de son évolution clinique.
En attendant, le monde de la beauté et de la téléréalité suit de près l’état de la candidate jamaïcaine, tout en se conformant à la demande de retenue formulée par son organisation. Les messages de soutien affluent, mais l’essentiel demeure la santé et la reprise complète de Gabrielle Henry.


