La route vers Miss France : date et lieu révélés
L’horloge tourne pour les prétendantes au titre de Miss France 2026. L’élection se tiendra le 6 décembre prochain pour la première fois dans la Somme, au Zénith d’Amiens. Une décision saluée par la direction du concours : « Le Zénith d’Amiens est un lieu emblématique, idéal pour accueillir la magie et l’émotion de l’élection Miss France », a déclaré Frédéric Gilbert, président de la Société Miss France.
Cette 95ᵉ édition arrive plus tôt que d’habitude : traditionnellement diffusé mi ou fin décembre sur TF1, le rendez-vous des téléspectateurs est avancé, offrant déjà aux fans l’occasion de suivre le parcours des candidates dans les semaines qui précèdent la grande soirée.
Pays de la Loire : Lola Winter, une favorite de Saint‑Nazaire
Parmi les régions qui dévoilent progressivement leurs représentantes, les Pays de la Loire ont choisi leur ambassadrice. Lola Winter, originaire de Saint‑Nazaire, a remporté successivement le titre de Miss Loire‑Atlantique en 2024 puis celui de Miss Pays de la Loire en 2025.
Sous les projecteurs des concours régionaux, la jeune femme a su séduire le jury et le public. Âgée d’une vingtaine d’années, elle est née à Saint‑Nazaire mais vit aujourd’hui à Pornichet. Elle insiste sur son attachement à la côte ligérienne : « Depuis mon enfance, j’ai toujours adoré La Baule et Pornichet. Je souhaite vivre ici plus tard », expliquait‑elle récemment.
Après sa consécration régionale, Lola Winter a partagé son émotion et sa fierté auprès des siens : « Rendre fière sa famille, c’est aussi une victoire. Mes amis de la Presqu’île n’en revenaient pas aussi. Ils vont m’encourager pour Miss Pays de la Loire à Château‑Gontier, c’est la prochaine étape vers mon rêve de Miss France », confiait‑elle au journal L’Écho.
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Études, ambitions professionnelles et engagement
Étudiante en droit à Nantes, Lola Winter se destine à une carrière d’avocate en droit des affaires. Elle mène de front son parcours universitaire et son aventure dans l’univers des concours de beauté. « C’est vraiment important de concilier ces deux projets ambitieux », affirme la candidate, soulignant la discipline nécessaire pour mener ces deux objectifs parallèles.
Au‑delà des obligations académiques, elle s’intéresse également à la politique et à l’art oratoire. L’année précédente, elle a pris part à des concours d’éloquence afin de perfectionner sa prise de parole et défendre ses convictions. Cette pratique publique de la parole pourrait jouer en sa faveur lors des interventions exigées par les étapes régionales et nationales du concours.
Un concours qui suscite toujours l’attention
La campagne vers Miss France 2026 se déroule donc dans un contexte où les régions présentent progressivement leurs candidates, chacune espérant succéder à Angélique Angarni‑Filopon, Miss France 2025. Pour l’heure, les soutiens locaux se mobilisent déjà autour des titulaires régionales, et les testimoniaux de proximité — amis, famille, voisins — restent souvent des relais clés pour les participantes.
Si le calendrier a été avancé, la mécanique du concours reste la même : sélections locales, épreuves régionales, puis la grande soirée nationale où se jouera l’issue du scrutin. Les semaines à venir permettront de suivre les préparatifs des candidates et les mises en lumière médiatiques qui précèdent traditionnellement l’élection.
En attendant le 6 décembre au Zénith d’Amiens, l’attention se porte donc sur celles qui représentent déjà leurs territoires et nourrissent l’espoir d’accéder à la couronne nationale. Pour Lola Winter et ses concurrentes, le chemin vers la scène nationale est tracé, entre études, engagements et répétitions publiques, jusqu’au verdict final que des millions de téléspectateurs suivront sur TF1.
