Vanessa Paradis clarifie sa collaboration avec Étienne Daho et revendique la direction de Le Retour des Beaux Jours

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Il y a 38 ans, la France découvrait une jeune voix fragile mais immédiatement reconnaissable avec ces mots : « Joe le taxi, il va pas partout. Il marche pas au soda. » Aujourd’hui, l’adolescente d’alors est devenue une artiste affirmée et une femme qui affiche une apparence délicate sans en avoir la fragilité. Déterminée et sûre d’elle, Vanessa Paradis impose désormais ses choix artistiques et personnels, loin de l’encadrement qui l’entourait à ses débuts.

Retour public sous la verrière du Grand Palais

Le 6 octobre dernier, Vanessa Paradis s’est présentée devant les photographes pour le défilé Chanel organisé sous la verrière du Grand Palais à Paris. Pour l’occasion, elle a opté pour la simplicité d’un basique assumé : une petite robe noire moulante et ultra-décolletée, silhouette qui a immédiatement attiré les regards.

À ses côtés, Étienne Daho a posé avec elle. Les deux artistes ont affiché une complicité évidente sur le tapis, traduisant une relation professionnelle et amicale bien rodée. Cette présence conjointe n’était pas anodine : Daho n’est pas seulement un compagnon de séance photo, il est aussi un collaborateur musical important pour Vanessa.

Un album partagé, mais « à elle »

Ce vendredi 10 octobre, Vanessa Paradis a publié son huitième album, intitulé Le Retour des Beaux Jours. Le projet a été écrit en collaboration avec Étienne Daho, décrit dans l’article comme « l’homme de 69 ans ». Si la participation de Daho est mise en avant, Vanessa a tenu à rappeler la part qui lui revient pleinement.

Interrogée par Le Figaro, plus précisément par le journaliste Olivier Nuc qu’elle connaît depuis le lycée, elle a été catégorique : « Le capitaine de mon disque, c’est moi ! » Cette formule souligne sa volonté de rester maîtresse de son univers artistique malgré l’appui de collaborateurs reconnus.

Vanessa a précisé qu’elle voulait travailler avec Étienne Daho et faire écouter des compositions de celui-ci, mais elle a aussi rappelé l’importance d’autres partenaires. « Il ne faut pas oublier Jean-Louis Piérot », a-t-elle dit, évoquant le rôle de ses collaborateurs dans l’orientation finale du disque. Sa demande aux musiciens qui l’accompagnent est claire : « d’emmener mes chansons vers mes envies ». Elle souhaitait notamment inclure « deux chansons qui dansent » parce qu’elle aime ce registre, a-t-elle ajouté.

Ce positionnement illustre la tonalité du projet : un album construit en duo, mais dirigé par l’intention et le goût de l’interprète, qui revendique la paternité artistique de l’ensemble.

Vanessa Paradis a aussi multiplié les rendez-vous médias à l’occasion de cette sortie, enchaînant interviews et apparitions publiques pour présenter le disque et revenir sur sa collaboration avec Daho.

Une carrière multi-casquettes et des collaborations durables

La carrière de Vanessa Paradis se décline depuis des décennies entre musique et cinéma. Maman de Lily-Rose et Jack, elle reste une figure médiatique suivie, notamment pour sa vie privée et ses anciens liens, comme sa relation passée avec Johnny Depp. Mais c’est avant tout en artiste qu’elle s’exprime aujourd’hui.

Dans le champ cinématographique, elle sera à l’affiche du film T’as pas changé, dont la sortie est annoncée pour le 5 novembre. Ce nouveau rôle s’inscrit dans une trajectoire où elle alterne régulièrement musique et jeu d’acteur, montrant une polyvalence que peu d’artistes parviennent à maintenir sur la durée.

La coopération avec Étienne Daho semble s’inscrire dans cette logique de collaborations durables : elles confèrent une continuité et une profondeur au travail musical de Vanessa, tout en lui permettant de garder la main sur la direction artistique.

Dans ses déclarations publiques récentes, Vanessa a tenu à cadrer la lecture de ce partenariat. Elle accepte que l’on parle de Daho comme auteur et co-réalisateur, mais elle refuse que l’on réduise l’album à une simple production d’« Étienne Daho ». Sa mise au point — « Le capitaine de mon disque, c’est moi ! » — est suffisamment limpide pour rappeler que, malgré l’ombre tutélaire d’un collaborateur célèbre, la conduite du projet reste son choix.

Sur le plan de l’image, ses apparitions récentes, entre tapis rouge et séances promotionnelles, montrent une femme qui maîtrise son récit public : élégante, consensuelle dans ses choix vestimentaires et ferme dans ses propos sur son travail. Le Retour des Beaux Jours paraît ainsi comme la continuité d’une carrière où l’affirmation artistique prime, même lorsqu’elle se nourrit de rencontres et de complicités célèbres.

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