Quentin Mosimann : du jackpot post‑Star Academy au prime du 29 nov. 2025, binômes menacés, public sauve un, soirée tendue avec Gims et Tina Arena

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Ce samedi 29 novembre 2025, la Star Academy s’annonce plus électrique que jamais : le prime prévu promet tension et suspense après l’annonce d’une règle exceptionnelle. En pleine « semaine des destins liés », les élèves ont appris mercredi soir les résultats des évaluations : deux binômes sont officiellement nominés. Il s’agit de Jeanne et Léo d’un côté, et de Lily et Théo L. de l’autre.

Un coup dur pour l’académie, d’autant que c’est la seconde nomination de Théo L., tandis que Jeanne, Léo et Lily sont exposés pour la première fois. Dès maintenant, les téléspectateurs doivent sauver l’un des deux duos ; l’autre verra son sort tranché individuellement par les votes des camarades, une mécanique rarissime qui pourrait provoquer un départ particulièrement cruel. Le prime accueillera notamment Gims, Tina Arena, Superbus et Linh, et s’annonce riche en performances inédites… et en conséquences possibles pour la suite de l’aventure.

Prime bouleversé : une règle exceptionnelle et ses enjeux

La nouveauté de la soirée tient à cette règle hybride : un duo sauvé par le public, l’autre condamné à être jugé membre par membre par les académiciens. Dans un concours où la dynamique de groupe compte autant que la performance individuelle, ce système introduit une tension psychologique forte. Pour les candidats nominés, l’enjeu est double : séduire le public et convaincre leurs pairs de leur valeur artistique et humaine.

La nomination de Théo L. pour la seconde fois place le candidat sous pression supplémentaire. Pour Jeanne, Léo et Lily, il s’agit d’une première exposition médiatique intense, susceptible de modeler leur image auprès des téléspectateurs. À l’heure où les marches du concours peuvent accélérer ou stopper une carrière, chaque prime se joue en quelques chansons — et parfois en quelques gestes.

Le plateau de samedi, étoffé par des invités de renom comme Gims et Tina Arena, devrait amplifier le contraste entre performances et drame. Reste à voir comment le public réagira face à ce vote hybride et s’il privilégiera l’émotion collective ou la carrière individuelle des candidats.

Quentin Mosimann : du passage à la Star Academy à l’empire musical

La tension actuelle de la Star Academy résonne avec le parcours de plusieurs anciens élèves, dont Quentin Mosimann. Dix-sept ans après sa victoire, l’artiste observe son parcours avec un mélange d’amusement et de gratitude. À 37 ans, le Franco‑Suisse a transformé son passage télévisé en une carrière internationale : DJ classé à six reprises parmi les cent meilleurs du monde, producteur, compositeur et, plus récemment, chroniqueur sur France Inter.

« J’aime dire qu’il faut quinze ans pour réussir ‘du jour au lendemain’ », confie-t-il à Paris Match, résumant la lenteur et la ténacité nécessaires après un télé‑crochet. Ses débuts post‑Star Ac ont été marqués par des essais et des bifurcations. Dès son premier album Duel, il affiche une double identité musicale : jazz et variété d’un côté, électro de l’autre. Rapidement, il comprend que sa voix ne conditionne pas forcément sa destinée ; ce qui l’anime, c’est la scène et la musique électronique.

La bascule définitive s’opère en 2012 avec le titre Je suis DJ, suivi de résidences en clubs et d’une présence dans les festivals internationaux. Ses apparitions dans le DJ Mag Top 100 et son rôle de juré dans The Voice Belgique confirment une crédibilité acquise sur la longue durée. Plus récemment, le concept des Dream Tracks — morceaux composés en direct avec des personnalités comme Alain Chabat, Bob Sinclar, Florent Manaudou ou Katseye — lui a offert une visibilité nouvelle, notamment sur TikTok où ses vidéos virales mêlent humour et bienveillance.

Sur le plan discographique et scénique, Quentin ne ralentit pas : collaborations avec Grand Corps Malade, Louane, Patrick Bruel, Cecilia Krull, un titre Halo présenté aux NRJ Music Awards, et un album annoncé pour 2026 accompagné d’un Dream Tour visant des salles comme les Zénith de Paris.

Le succès artistique s’est doublé d’une réussite financière notable. Dès 2014, il évoquait toucher 7 000 € pour deux heures de mix en France, et parfois bien plus à l’étranger. Un an plus tard, Capital indiquait qu’il avait déjà gagné plus d’un million d’euros en une année. Ses exigences de travail — jet privé, suites d’hôtel, chauffeur, cachets élevés — avaient suscité des réactions, mais la demande pour ses prestations restait forte et compensait ces conditions.

Aujourd’hui, Mosimann décrit une vie partagée entre travail et passion. Il vit entre Paris, la Suisse et le Sud de la France, compose parfois dans la crêperie familiale de son père et multiplie les projets : professeur à l’école des DJ de l’UCPA de Lyon, auteur, producteur, compositeur. « C’est la guerre dans mon agenda », dit‑il en souriant, tout en reconnaissant avoir investi massivement dans sa musique, son équipe et sa liberté artistique.

Celui qui confie avoir participé à la Star Academy « pour aider sa mère » a, en dix‑sept ans, converti un passage télévisé en une carrière durable et internationalisée. Son parcours illustre qu’un télé‑crochet peut, parfois, être le point de départ d’une trajectoire solide et surprenante. À qui le tour ?

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