Pékin Express : Rotenberg révèle la sécurité extrême sur La route des glaces (Kazakhstan) — gilets pare‑balles, gardes du corps

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Lancée le 15 janvier 2006 sur M6, Pékin Express s’est rapidement installée comme un rendez-vous incontournable de la télévision d’aventure. Conçu pour concurrencer Koh-Lanta, le jeu a connu des audiences très fortes et a propulsé Stéphane Rotenberg au rôle d’animateur emblématique, position qu’il occupe depuis la première saison et qu’il n’a pas l’intention de quitter.

Après une interruption en 2014 liée à une baisse d’audience, M6 a relancé le format en 2018. Ce vendredi 7 novembre, à peine sept mois après la diffusion de la saison La route des tribus légendaires, la chaîne a mis en route une nouvelle édition baptisée La route des glaces. Tournée exclusivement au Kazakhstan, cette saison inédite se distingue par des conditions climatiques extrêmes, avec des excursions filmées sous des températures pouvant atteindre -35 °C.

Tournage dans un froid sibérien

La spécificité de La route des glaces tient à son décor naturel et à la rudesse du climat. Les équipes de production et les candidats évoluent dans un environnement quasi sibérien, où le froid devient un facteur à part entière de l’épreuve. Les températures relevées pendant certains trajets descendent jusqu’à -35 °C, obligeant la production à adapter logistique, sécurité et matériel pour préserver la santé des participants et la continuité du tournage.

Si le danger de cette saison est principalement météorologique, Stéphane Rotenberg a rappelé sur le plateau de TBT9 que d’autres éditions avaient été marquées par des risques d’une autre nature. Le présentateur a évoqué des tournages compliqués, parfois dans des pays où l’accueil pouvait se révéler hostile pour les équipes françaises.

Sécurité renforcée : gilets pare-balles et gardes du corps

Sur TBT9, Stéphane Rotenberg a confié que la production procédait, selon les pays, à un renforcement notable de la sécurité. « On est dans des pays où parfois, il y a de l’insécurité (…) Quand tu vas dans certains pays en Afrique, en Amérique latine, dans ces cas-là, on met une sécurité un peu distante », a-t-il expliqué. Il a ajouté que des « gardes du corps, avec gilets pare-balles et flingues », étaient parfois positionnés à quelques mètres afin d’assurer la protection des candidats et des équipes.

Le recours à une protection armée distante témoigne de la complexité des opérations à l’étranger. Selon l’animateur, ces mesures sont prises au cas par cas et font partie des « obsessions » de la production pour garantir la sécurité.

Malgré ces précautions, Stéphane Rotenberg admet que certains incidents ont eu lieu au fil des saisons. S’il assure qu’il n’y a jamais eu, en 21 saisons, de « gros problème » généralisé, il reconnaît que des candidats ont pu être victimes de vols. « Ils se sont fait braquer leurs sacs dans des maisons. C’est arrivé une ou deux fois, à Cuba », a-t-il relaté.

Parmi les exemples cités, l’animateur a évoqué une édition tournée en Inde en 2010, lors de la première saison All Stars, à laquelle avait participé Isabelle Morini-Bosc. Il a raconté qu’une manifestation sur la route avait provoqué un barrage : « Le responsable a vu que le bus dans lequel étaient les candidats allait être agressé. Il est rentré dans le champ, il a pris les candidats par le sac-à-dos, il les a amenés hors-champ. Et le bus a été brûlé … »

Souvenirs et frayeurs des candidats

Isabelle Morini-Bosc, présente lors de cette édition indienne, a gardé des souvenirs vifs de ces moments de tension. Elle a raconté plusieurs mésaventures, dont une scène où « le bus manquait de tomber dans le ravin. On nous a demandé de tous nous pencher de l’autre côté, pour éviter qu’il bascule ». Ces anecdotes rappellent que Pékin Express n’est pas une simple escapade touristique, mais un format qui confronte régulièrement participants et équipes à des situations déstabilisantes.

Sur le plan médiatique, ces confidences témoignent aussi des arbitrages permanents entre rendu télévisuel et sécurité. Elles soulignent la part de risque assumée par les productions lorsqu’elles décident d’implanter des tournages dans des zones où les paramètres environnementaux ou sociopolitiques peuvent évoluer rapidement.

Enfin, la diffusion récente de La route des glaces illustre la volonté de M6 de continuer à surprendre le public en multipliant les cadres extrêmes. Le concept reste le même : mettre en lumière l’ingéniosité des candidats confrontés à des épreuves physiques et humaines, mais dans des contextes qui obligent la production à redoubler de vigilance.

« On a des gardes du corps avec des gilets pare balle et des flingues » Les révélations de @Steph_Rotenberg sur la sécurité « renforcée sur certains pays » pour les tournages de #PekinExpress ! #TBT9 pic.twitter.com/pTXW1b4H2r

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