Nathalie Andreani (Secret Story) : 5 millions d’euros en 5 ans grâce à OnlyFans/MYM, elle met en garde les moins de 25 ans sur la permanence des contenus

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Ce lundi 24 novembre 2025, sur le plateau de Sud Radio, Magali Berdah recevait Nathalie Andreani, devenue l’une des créatrices de contenus pour adultes les plus visibles de France. Ancienne candidate de la saison 8 de Secret Story, aujourd’hui âgée de 53 ans, elle est revenue longuement sur sa reconversion, ses gains et les conséquences personnelles et sociales de son choix professionnel. Une interview sans concessions qui a mêlé confidences financières et mise en garde destinée aux plus jeunes.

Une reconversion aux revenus massifs

Interrogée frontalement par Magali Berdah sur ses revenus — «Tu arrives à prendre combien par mois ?» — Nathalie Andreani a préféré ne pas divulguer de somme mensuelle précise. Elle a néanmoins livré un élément chiffré marquant : «En cinq ans, j’ai généré cinq millions de chiffres d’affaires», a-t-elle déclaré.

Ce montant, a-t-elle précisé, émane d’activités réparties sur plusieurs plateformes, dont OnlyFans et MYM, qui l’ont propulsée dans un cercle réduit de créatrices très rémunératrices. Sa franchise sur l’objectif pécuniaire est assumée : «Bien sûr qu’on fait cela pour l’argent. Je l’ai toujours dit : je ne fais pas ça pour le plaisir», a-t-elle ajouté.

L’ancienne candidate explique que la motivation première était la recherche d’une stabilité financière impossible à retrouver dans sa vie “d’avant”. Confrontée à des difficultés économiques dans ses activités traditionnelles, elle a choisi de basculer vers un modèle numérique et payant qui s’est avéré nettement plus profitable.

Pudeur, rupture et décisions pragmatiques

Nathalie tient à dissocier sa personnalité de l’image d’exhibitionniste que l’on pourrait lui prêter. «Je suis très pudique, ça fait sourire les gens», confie-t-elle, tout en reconnaissant que cette pudeur rend sa trajectoire contre-intuitive.

Elle raconte le point de rupture : «J’avais trois boutiques, mais entre les charges et les impôts, il me restait 10 % à la fin…». Une situation financière intenable qui l’a poussée à envisager d’autres voies. «En faisant ce business-là, il m’est resté dix fois plus. Ce que j’ai gagné en cinq ans, j’aurais mis trente ans à le gagner autrement», affirme-t-elle, en soulignant la différence d’échelle entre ses revenus passés et ceux générés par les plateformes pour adultes.

Si la réussite économique est mise en avant, elle n’occulte pas les côtés plus sombres ou difficiles du métier. Nathalie évoque sans détour les mécanismes des plateformes, la pression liée à l’exposition et la nécessité de gérer sa notoriété et ses contenus sur le long terme.

Un avertissement aux jeunes générations

Parallèlement à sa présentation positive de la reconversion, Nathalie Andreani a choisi d’adopter un ton protecteur envers les plus jeunes. Elle refuse que son parcours soit reçu comme un modèle universel et multiplie les avertissements.

«Il ne faut pas oublier que tout reste sur Internet», rappelle-t-elle, insistant sur la permanence et la traçabilité des contenus en ligne. Pour elle, ce constat appelle à la prudence, en particulier pour les personnes qui n’ont pas encore construit leur vie ou leur projet professionnel.

L’ex-candidate va plus loin en ciblant explicitement les moins de 25 ans : «Elles n’ont pas encore construit leur vie. Le jour où elles vont vouloir arrêter, leurs enfants pourront un jour tomber sur leurs vidéos…». Cette phrase, lourde de sens, vise à souligner les conséquences souvent irréversibles d’une exposition sexuelle ou intime prolongée sur Internet.

Nathalie assume son choix personnel mais souhaite que les autres le mesurent dans toute sa complexité. Elle se positionne ainsi à la fois comme actrice d’un business lucratif et comme voix mettant en garde contre ses effets potentiels.

Elle a par ailleurs partagé certains éléments de son parcours via Instagram, prolongeant son message au-delà de l’entretien radio.

Le témoignage de Nathalie Andreani interroge : il illustre la possibilité d’un succès financier spectaculaire grâce aux plateformes de contenus pour adultes, tout en rappelant les coûts personnels et sociaux que ce modèle peut entraîner. Dans un paysage médiatique où l’argent et la réputation se retrouvent étroitement liés, son récit offre un cas d’école sur les choix de carrière, la résilience économique et la prudence nécessaire à l’ère du tout-numérique.

Society News

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