Brigitte et Emmanuel Macron ont vendu Monéjan, leur villa historique du Touquet. La transaction, confirmée par plusieurs médias, marque la fin d’une page familiale et suscite de nombreuses questions sur l’avenir du couple dans la station balnéaire.
Une vente qui fait parler : 3,6 millions et une belle plus-value
Selon plusieurs sources, la villa dite « Monéjan » a été cédée pour 3,6 millions d’euros « net vendeur ». Ce montant dépasse nettement l’évaluation connue du bien en 2014, qui était alors d’environ 1,2 million d’euros. En l’espace d’une décennie, la valeur officielle rapportée du bien aurait donc été multipliée par trois, une plus-value notable qui alimente les commentaires.
L’acquéreur mentionné dans les médias est la société Oxia, promoteur immobilier. D’après les informations circulant autour de la transaction, l’acheteur envisagerait de transformer la villa en un projet haut de gamme. Ces éléments confirment l’attractivité du lieu, tant pour sa situation que pour son potentiel immobilier.
Les chiffres sont précis dans leur formulation : 3,6 millions d’euros « net vendeur » et l’estimation antérieure à 1,2 million en 2014. Ces repères aident à mesurer l’importance financière de l’opération, mais plusieurs points relatifs aux intentions exactes du promoteur restent rapportés par la presse et n’ont pas été détaillés publiquement par les parties.
Un départ progressif : clause de jouissance et nouveau pied-à-terre
La vente ne signifie pas un départ immédiat. Brigitte Macron a négocié une clause de « différé de jouissance » qui lui permettrait de rester dans la villa jusqu’à la fin décembre 2025, tout en ayant perçu le prix de vente. Cette disposition assure une transition douce entre l’ancien et le nouveau cadre de vie, et limite l’impact immédiat du changement pour la famille.
Parallèlement, le couple aurait déjà acquis un nouveau bien au Touquet, toujours selon les informations publiées. Il s’agirait d’une villa en briques rouges d’environ 290 m², avec vue sur la plage, intégrée dans une SCI familiale créée récemment. Ces détails, tels que la surface et le matériau, proviennent des mêmes sources et traduisent une volonté de rester « ancrés » dans la station, mais dans un cadre plus discret.
La combinaison de la vente de Monéjan et de l’achat d’un nouveau bien laisse apparaître une stratégie familiale : réaliser une plus-value sur un bien historique tout en conserver un point d’attache local. Le mécanisme de la SCI indique aussi une organisation patrimoniale réfléchie, adaptée à la gestion collective d’un bien.
Une page qui se tourne, mais pas de coupure nette
Au-delà des chiffres, la cession de Monéjan a une portée symbolique. La villa incarnait depuis longtemps un lieu de ressourcement pour le couple, loin du tumulte parisien. Y avoir passé régulièrement des week-ends en a fait un élément central de leur intimité publique.
Reste que la transaction semble vouloir concilier deux impératifs : tirer parti du marché immobilier pour sécuriser une importante plus-value, et préserver une présence au Touquet via un nouveau logement et la clause de jouissance. Ce double mouvement explique en partie l’attention médiatique et l’interrogation du public.
Certaines informations ont été relayées par des publications et relais sociaux. D’autres sont issues de reportages et des éléments rendus publics par des sources de presse. Là où les intentions précises — notamment le calendrier des transformations envisagées par l’acquéreur ou le programme détaillé de la nouvelle résidence familiale — ne sont pas formellement communiquées, les reportages se fondent sur des éléments déclarés et des documents consultés par la presse.
En somme, la vente de Monéjan apparaît comme une opération immobilière importante et réfléchie. Elle clôt une longue étape du couple au Touquet sans pour autant rompre totalement le lien avec la station. Les mois à venir, jusqu’à la fin 2025 notamment, permettront de voir comment se déroulera la transition et quel visage prendra la villa sous sa future destination.


