Dans le petit monde des célébrités, certaines alliances surprennent davantage. Celle qui se tisse entre Meghan Markle et une partie du clan Kardashian appartient à ces rapprochements inattendus. Loin des couloirs de Buckingham et des codes royaux, la duchesse de Sussex semble inscrire une nouvelle trajectoire sociale entre Los Angeles et Montecito, où les cercles se croisent et les confidences se partagent à l’abri des regards.
Des brunchs discrets et des points communs étonnants
Selon plusieurs proches, Meghan Markle aurait noué des liens avec Kris Jenner et sa fille Kim Kardashian via des amis communs influents du milieu du bien-être et du lifestyle. Ces rencontres se dérouleraient dans des cadres privés, loin des tapis rouges, et seraient l’occasion d’échanges sur la parentalité, la gestion de l’image publique et les stratégies professionnelles.
À première vue, la sobriété affichée par les Sussex diffère de la flamboyance médiatique du clan Kardashian. Pourtant, au-delà des apparences, des convergences apparaissent : indépendance financière, maîtrise de la stratégie d’image et volonté de contrôler leur propre narration face aux médias. Comme Meghan, les Kardashian ont appris à transformer la curiosité médiatique en levier d’influence et en opportunités commerciales.
Une publication partagée via Instagram a été relevée par des observateurs, alimentant les spéculations quant à la proximité entre ces personnalités. Sur ce point, les éléments publics restent limités et les témoignages évoquent principalement des rencontres privées plutôt que des collaborations officielles.
Une alliance bien pensée ou une amitié sincère ?
Depuis leur installation en Californie, Meghan et Harry évoluent dans un microcosme où se rencontrent stars hollywoodiennes, entrepreneurs et influenceurs. Dans ce contexte, la proximité avec des figures comme Kris Jenner et Kim Kardashian peut apparaître comme la suite logique d’un réseau social recomposé autour de valeurs professionnelles communes.
Mais la relation avec le clan Kardashian semble porter une autre dimension. Entre femmes exposées médiatiquement, il existerait une compréhension mutuelle de ce que signifie vivre sous les projecteurs tout en préservant une part d’intimité. Ce terreau commun favoriserait des confidences et des formes de soutien qui dépassent la simple stratégie de communication.
Certains observateurs y voient une alliance d’image, utile dans un monde où la notoriété se monnaye. D’autres, en revanche, reconnaissent la possibilité d’une réelle amitié, fondée sur des enjeux similaires : élever des enfants sous l’œil public, construire et protéger une marque personnelle, et défendre une forme d’indépendance féminine.
La nouvelle vie américaine de Meghan
Ce rapprochement, discret jusqu’ici, illustre aussi la métamorphose de la duchesse depuis son départ du Royaume-Uni. En choisissant de s’entourer de femmes influentes et engagées, Meghan affirme une identité qui s’éloigne des protocoles royaux sans renoncer à la visibilité. Elle semble participer à un univers où réussite personnelle et engagement public se conjuguent dans une stratégie assumée.
La dualité de Meghan — à la fois stratège et sincère, mondaine et engagée — se lit dans ces rencontres. Qu’il s’agisse d’une amitié authentique ou d’un rapprochement pragmatique, ce lien renvoie à une femme qui cherche à maîtriser sa narration et à s’ancrer dans la réalité californienne.
Reste que, sur la base des éléments disponibles publiquement, la nature exacte de cette relation demeure en partie spéculative. Les informations proviennent surtout de témoignages de proches et d’observations de rencontres privées, plutôt que d’annonces officielles ou de collaborations vérifiables.
Quoi qu’il en soit, l’association de Meghan Markle avec une partie du clan Kardashian en dit long sur l’évolution de son image : une Meghan pleinement américaine, déterminée à tracer sa voie loin des sentiers royaux, mais toujours sous les projecteurs — à sa manière.


