M. Pokora a interrompu sa tournée pour le téléfilm Oradour-sur-Glane, ne m’oublie pas : émotion intense, polémique et apaisement avec le village

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Selon les informations du Parisien, M. Pokora a profité d’une pause dans sa tournée pour retourner sur le tournage d’un téléfilm consacré au massacre d’Oradour-sur-Glane. Intitulé Oradour, ne m’oublie pas, le projet a d’abord suscité des inquiétudes dans le village martyr, mais, assure l’artiste, le climat s’est apaisé depuis le tournage.

Un tournage sensible et une polémique initiale

Le chanteur reconnaît que le projet a progressé très rapidement, au point d’avoir surpris des habitants : « La polémique est complètement oubliée. Tout va bien. On est allé voir les gens du village. On a échangé, juste après le tournage. » Selon ses dires, la précipitation s’explique par une conjonction de contraintes : calendrier serré, financement complexe et autorisations tardives.

« Le problème, c’est que tout s’est goupillé très vite. Ce sont des films difficiles à débloquer, car ça coûte cher. On a fait plein d’efforts pour que ça se fasse, à la dernière minute on a eu un feu vert et tout s’est enchaîné. Mais tout le monde a été très rassuré », précise-t-il au Parisien. Ces explications visent à rendre compte des tensions qui ont précédé le tournage et des inquiétudes exprimées par certains habitants.

Le dialogue, clé pour dissiper les craintes

Face aux réserves initiales, M. Pokora relate que des échanges directs avec les habitants ont eu lieu. D’après lui, ces rencontres ont permis d’apaiser les tensions et de clarifier les intentions de l’équipe de production. Le téléfilm pourra ainsi, selon l’artiste, « porter la mémoire d’Oradour, sans heurts, comme l’espérait l’équipe ».

Il s’agit d’un point sensible : les fresques audiovisuelles liées à des événements tragiques demandent un équilibre entre respect du souvenir, exigence historique et implication des communes concernées. Dans ce cas précis, M. Pokora insiste sur la volonté collective de rendre hommage et d’éduquer les générations futures.

Une expérience émotionnelle forte

Sur le plateau, en revanche, l’émotion n’a jamais disparu. M. Pokora décrit un tournage éprouvant : « Émotionnellement, ça a été très dur. Très fort. C’est un massacre, le plus gros massacre de civils en France, ce n’est pas facile de tourner ces scènes-là, voir des femmes et des enfants au sol. Ça a été un moment très intense. »

Il ne dissimule ni la difficulté ni la responsabilité qui incombent à ceux qui s’attaquent à un tel sujet. Pour l’artiste, il était impossible d’aborder ce rôle autrement que « habité ». Sa motivation reste explicite : « On a envie, ça me tenait à cœur, pour les futures générations, de faire connaître l’histoire de ce village martyr et ne jamais oublier. »

Ces déclarations soulignent l’effort de sens et de respect que l’équipe prétend avoir voulu insuffler au projet. Elles témoignent aussi de la charge émotionnelle inhérente à la reconstitution d’événements où la mémoire collective demeure vive.

Le Parisien est mentionné comme source de ces déclarations et du récit des faits. Aucune nouvelle information indépendante n’a été ajoutée ici : ce compte rendu synthétise les propos rapportés par le journal au sujet du rôle de M. Pokora et des obstacles rencontrés pendant la fabrication du téléfilm.

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