Lucas Chevalier réagit au like pro‑RN : le gardien du PSG nie tout engagement politique, déplore la salissure de son image et les attaques contre sa famille

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Lucas Chevalier, gardien du Paris Saint-Germain et international français, s’est retrouvé au centre d’une polémique après avoir « liké » une vidéo politique sur Instagram. Le geste, qualifié d’approbation par de nombreux internautes, a déclenché une vague de critiques dirigées contre le portier, ancien du LOSC.

Le « like » sur une vidéo pro-RN

La publication en question provient d’un compte Instagram relayant une intervention de Julien Aubert, vice-président du parti Les Républicains. Dans cette vidéo, le député déclare qu’il préférerait voter pour le Rassemblement National (RN) en cas d’affrontement au second tour contre La France insoumise (LFI). Au cours du débat, Julien Aubert minimise l’héritage du pétainisme et des Waffen-SS au sein du RN et affirme notamment : « Je ne vais pas reprocher à Mme Marine Le Pen ce qu’a fait son père, de la même manière qu’elle n’est pas responsable de ce qu’a fait son grand-père. »

Le « j’aime » de Lucas Chevalier sur cette vidéo a été interprété par une partie du public comme une approbation des propos du député. Rapidement, les critiques ont afflué, mettant en cause la position politique supposée du joueur et suscitant un débat sur la responsabilité des personnalités publiques sur les réseaux sociaux.

La réaction publique du gardien

Après la rencontre opposant le PSG à l’Olympique Lyonnais, le dimanche 9 novembre 2025, Lucas Chevalier a choisi de s’expliquer via une story publiée sur son compte Instagram. Il y affirme que l’orientation politique exprimée dans la vidéo n’est pas la sienne et qu’il a appuyé sur « j’aime » « sans s’en être rendu compte ». Il précise : « J’ai pu voir ce qu’il a pu se dire à mon propos concernant le fait que j’ai liké une publication sur Instagram d’un orientation politique, que je ne partage pas bien évidemment. »

Le gardien a exprimé son agacement face à l’amplification de l’affaire : « …ça reste désolant de savoir qu’en scrollant et en laissant un like sans s’en rendre compte sur une publication, vous êtes informé que votre image est salie de haut en bas pour une action accidentelle, ÇA M’EMMERDE. »

Chevalier a aussi voulu rappeler ses valeurs familiales et son éducation : « Toute personne qui me connaît, sait très bien à quel point je suis une personne dont mes parents et ma famille m’ont inculqué des valeurs, du respect, et qu’en aucun cas je me permettrais de penser ces choses. » Il ajoute reconnaître toutefois que « le mal est fait et les choses on[nt] été prononcées » à son encontre.

Le joueur a dénoncé les attaques personnelles et leur répercussion sur sa famille : « Vous avez essayé de me faire passer pour un facho, et ce n’est pas que moi que vous avez visé, mais ma famille entière. Je ne me mettrais jamais en victime mais les limites on[nt] été dépassé, et de très loin. » Il conclut en présentant des excuses pour la gêne occasionnée : « J’ai toujours essayé d’être une bonne personne dans la vie de tous les jours et sur le terrain, et je continuerai. »

Polémique politique et réseaux sociaux

Au-delà de l’incident, cette affaire illustre la difficulté pour les personnalités publiques de maîtriser leur image sur les réseaux sociaux. Un simple « like » peut être interprété comme une prise de position et provoquer des réactions en chaîne. Certains détracteurs ont profité de la situation pour lier cette controverse aux performances sportives du gardien, une critique que Chevalier qualifie d’injuste en soulignant le manque de connaissance du poste de gardien par ses opposants.

Lucas Chevalier, qui évolue au PSG et en équipe de France, a choisi la réponse directe sur sa plateforme personnelle. Il a tenté d’apaiser la polémique en niant toute adhésion aux propos partagés et en expliquant l’accident numérique. Restent les interrogations sur la manière dont clubs et instances encadrent la communication des joueurs et sur la sévérité des réactions publiques lorsqu’une personnalité est associée, même involontairement, à un discours politique clivant.

Sur cette affaire, les faits rapportés proviennent des publications Instagram mentionnées et des déclarations publiques de Lucas Chevalier après le match du 9 novembre 2025. Les citations reproduites ci‑dessus sont celles entendues dans la vidéo de Julien Aubert et dans la story du gardien, telles que relayées dans les médias et sur les réseaux sociaux.

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