C’est une saison anniversaire pour L’amour est dans le pré sur M6 : la vingtième édition du programme revient cette année avec Karine Le Marchand toujours à la présentation. Au total, quinze agriculteurs sont en quête d’amour, même si deux d’entre eux ne seront pas visibles à l’écran faute d’avoir reçu de courriers après la diffusion de leur portrait.
Programmation et retour des portraits
Le quatrième épisode a été diffusé le 15 septembre et les abonnés à M6+ peuvent déjà suivre la suite des aventures. Pour le prime du lundi 23 septembre, les téléspectateurs retrouveront plusieurs candidats : Laurent en Ardèche, Gilles en Normandie, Jean‑Baptiste dans la Creuse, Géraldine dans la Sarthe, Anthony dans l’Aveyron et Jean‑Louis C. dans le Nord.
La production souligne toutefois que deux agriculteurs resteront absents des prochains numéros, n’ayant pas reçu de courriers après la diffusion de leur portrait. Cette situation, peu fréquente, réduit donc l’effectif à l’antenne malgré l’annonce initiale des quinze participants.
Jean‑Louis, le cuisinier du Nord qui fait chambre à part
Jean‑Louis C., 67 ans, éleveur de vaches allaitantes dans le Nord, s’est montré très à l’aise aux fourneaux. Parmi les plats préparés pour ses prétendantes figurent un sauté de veau, un gratin pommes de terre/chou‑fleur et un bœuf bourguignon. Ces efforts culinaires s’inscrivent dans sa volonté de séduire par la table.
Sur un plan ménager, le Nordiste a surpris par son sens du gentleman : il a laissé les deux chambres principales de sa maison à ses invitées et aménagé un couchage pour lui dans une pièce du bas. Mais il tient à préserver son intimité. Comme il le dit lui‑même : « Les deux prétendantes sont des femmes très bien mais je ne les connais donc j’ai prévu une clef. Si l’une ou l’autre vient taper à la porte, je ne veux pas être embêté ». Cette précaution, présentée au téléspectateur, illustre à la fois la prudence et le souci de confort du candidat.
Chez Gilles, la tension monte entre deux prétendantes
Gilles, céréalier installé en Normandie, a franchi l’étape des speed‑datings et a reçu à la ferme Isabelle et Pascaline. Rapidement, le courant semble avoir mieux passé avec Pascaline, qui a pris l’initiative d’offrir une escapade détente et romantique à l’agriculteur.
Tous deux sont partis pour une séance de massage et se sont retrouvés en peignoir, moment vécu comme gênant par Gilles : « Je me sens ridicule », confie‑t‑il au cours de la séquence. Le candidat demande alors à l’une des masseuses s’il fallait « se mettre tout nu ». Après la séance, Pascaline se montre volontaire et directe : « Le but c’est que je te fasse du bien », dit‑elle en lui massant les mains.
L’échange devient plus suggestif lorsque Pascaline ajoute : « Il faut que tu connaisses mes deux cuisses ». Elle propose ensuite, de façon encore plus explicite : « Tu veux que je te masse les fesses maintenant ? Ça va être classé X après… ». Ces propos donnent le ton d’une relation qui s’accélère entre les deux candidats.
De retour à la ferme, la discussion se fait plus intime et franche, notamment au sujet de difficultés sexuelles évoquées par Gilles. Pascaline le rassure : « Il y a pleins de moyens d’avoir du plaisir… ». Son discours témoigne d’une volonté de proximité et d’adaptation qui semble conforter sa position auprès du céréalier.
Dernier détail révélateur de la dynamique des trois personnes : Pascaline aurait déjà consulté les horaires de train pour renvoyer sa concurrente chez elle, preuve qu’elle entend conserver l’avance qu’elle a prise dans la relation.
Une saison attentive aux émotions
Cette vingtième édition met en lumière des rencontres marquées par la sincérité, l’humour et parfois la tension. Entre gestes attentionnés, confidences intimes et petits calculs, les agriculteurs et leurs prétendantes composent le tableau d’une téléréalité centrée sur la recherche d’un partenaire dans un contexte rural.
Les prochains épisodes, disponibles pour les abonnés M6+ avant diffusion télé, permettront de suivre l’évolution de ces premiers rapprochements et de voir si les premières impressions se confirment ou s’inversent.
