JustPyramid sur sa compagne incarcérée à Quotidien : Lise Vaudour accusée d’être ex-djihadiste, polémique publique et enquête administrative lancée

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Depuis le 17 août 2025, l’influenceuse connue sous le pseudonyme JustPyramid, de son vrai nom Clara, se retrouve au centre d’une affaire mêlant révélations intimes et inquiétudes sécuritaires. Tout a commencé après les publications d’Emma Paris, son ex-compagne, qui a affirmé que Clara avait entretenu une relation en prison avec une femme incarcérée pour des faits de terrorisme.

Les révélations d’Emma Paris et leurs conséquences

Emma Paris, très active sur les réseaux sociaux, a multiplié les stories pour détailler sa rupture et les raisons qui la motivent. Elle a notamment affirmé que la nouvelle compagne de Clara, identifiée dans les médias comme Lise Vaudour, serait “une ancienne djihadiste”. Selon Emma, Lise aurait passé dix ans en Syrie pour suivre son mari de l’époque, se serait radicalisée et serait “fichée S” par les services de renseignement français.

Ces accusations ont immédiatement enflammé les discussions en ligne. Emma Paris et JustPyramid se sont livrées à des échanges virulents sur les réseaux sociaux et ont menacé, chacune de leur côté, d’emmener l’affaire devant les tribunaux. L’éclatement public de cette relation née en milieu carcéral a aussi provoqué une réaction institutionnelle.

Interrogé en marge d’un déplacement, Gérald Darmanin, ministre de la Justice, a appelé à la prudence face aux rumeurs. Il a toutefois annoncé qu’il avait “demandé une enquête administrative pour savoir si les faits sont vrais” et invité la presse et les internautes à “faire attention aux rumeurs”.

La version de JustPyramid face à “Quotidien”

Le mardi 2 septembre 2025, JustPyramid a accepté de répondre aux questions de Quotidien (TMC). Face à une journaliste de l’émission, Clara a accepté d’évoquer sa relation avec Lise Vaudour, précisant que leur histoire était née en prison.

Lorsque la journaliste lui demande comment elle qualifie Lise, alors que médias et justice la décrivent comme “djihadiste”, JustPyramid répond sans détour : “Comme une personne normale qui a fait peut-être des mauvais choix dans sa vie.” Elle reconnaît l’existence des faits reprochés à Lise mais refuse de la réduire uniquement à ces accusations. “Je ne la vois pas de cette façon”, ajoute-t-elle.

Clara explique aussi les difficultés pratiques et administratives qui ont suivi la médiatisation de leur liaison. Elle assure avoir fait une demande pour voir Lise au parloir et être allée en cabine, mais que la demande a été refusée après que l’affaire a pris de l’ampleur dans les médias. “Le fait que ce soit médiatisé, que ce soit parti extrêmement loin, ben la demande pour la voir, ça a été négatif”, regrette-t-elle.

La jeune influenceuse réfute en outre toute accusation d’un contact privilégié via un téléphone portable détenu en détention. Elle assure ne pas être en contact direct avec Lise via ce moyen.

Un dossier sensible entre intimité, sécurité et procédures

Interrogée sur la décision du ministre de la Justice d’ouvrir une enquête administrative, JustPyramid juge la démarche excessive. “Sincèrement, oui, dans le sens où je pense qu’il y a des problèmes bien plus graves. Je trouve ça un peu exagéré d’ouvrir une enquête pour la simple et bonne raison qu’une influenceuse ait pris la parole sur les réseaux”, confie-t-elle à Quotidien.

Malgré la tension médiatique et les procédures éventuelles, Clara admet ne pas cacher son attachement à Lise. Quand la journaliste lui demande si cette dernière lui manque, elle répond simplement et franchement : “oui elle me manque”.

Au-delà des émotions personnelles, cette affaire met en lumière plusieurs enjeux : la gestion des relations nées en détention, la place des réseaux sociaux dans la diffusion d’informations sensibles et la manière dont les autorités traitent les allégations publiques de sécurité. Les éléments rapportés proviennent principalement des stories d’Emma Paris et de l’entretien accordé par JustPyramid à Quotidien.

Les deux protagonistes ont menacé de porter l’affaire devant la justice, ce qui pourrait conduire à des procédures formelles et à des vérifications administratives. En attendant, la controverse reste largement commentée sur les plateformes sociales et suscite un débat public sur la frontière entre vie privée, faits reprochés et intérêt général.

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