Condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans pour financement libyen : Cécilia Attias scandalisée, réactions vives et polarisation nationale

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Le 25 septembre 2025, la justice française a rendu un verdict très attendu dans l’affaire du financement libyen présumé de la campagne présidentielle de 2007 : Nicolas Sarkozy a été condamné à cinq ans de prison. Un dénouement qui a provoqué une vague de réactions, notamment dans l’entourage de l’ancien chef de l’État et parmi les commentateurs médiatiques, et qui continue d’alimenter les discussions sur les réseaux sociaux et à la télévision.

La réaction de Cécilia Attias : émotion et colère

Cécilia Attias, ancienne épouse de Nicolas Sarkozy et mère de leur fils Louis, a exprimé son indignation et sa tristesse sur X (anciennement Twitter) dans un message qui a rapidement circulé.

« Je suis scandalisée et surtout triste pour notre pays qui a perdu le sens de la justice », a-t-elle écrit, ajoutant un soutien personnel à l’ancien président : « Je suis de tout cœur auprès de Nicolas que je sais être un honnête homme. »

Ce message, sobre mais incisif, a été partagé et commenté par de nombreux internautes. L’intervention de Cécilia Attias intervient dans un contexte émotionnel fort : anciennement très présente dans la vie publique du couple, elle conserve un lien symbolique avec la période où Nicolas Sarkozy était à l’Élysée. Son post a été qualifié par certains observateurs de défense touchante d’un homme qu’elle connaît intimement, tandis que d’autres y ont vu une prise de position politique.

Laurence Ferrari s’emporte sur CNews : la condamnation dénoncée

La réaction médiatique n’a pas tardé. Le soir même du verdict, la journaliste Laurence Ferrari, en direct sur CNews, a vigoureusement défendu Nicolas Sarkozy et dénoncé ce qu’elle a décrit comme une incohérence de la justice.

« Ils ont 17 ans et 19 ans, ils ont agressé avec une extrême violence un policier à Tourcoing le 19 septembre dernier et ils ont été remis en liberté. Ils dorment tranquillement chez eux ce soir. Il s’appelle Jordy G., il était sous le coup de trois OQTF, il avait été condamné 11 fois par la justice, mais il était en liberté lorsqu’il a violé deux jeunes femmes. Donc, Claire Geronimi… je pourrais multiplier les exemples à l’infini. Il s’appelle Nicolas Sarkozy, il a été président de la République, il a été jugé dans le cadre d’une affaire de soupçon de financement illégal de sa campagne en 2007. Le tribunal n’a trouvé aucune preuve de délit, aucune trace d’enrichissement personnel, et pourtant, la décision a été prise par les magistrats de l’envoyer en prison pour 5 ans », s’est-elle indignée à l’antenne.

Elle a conclu sur un ton sévère : « Ce soir, les vociférations de joie de la gauche sont obscènes, elles donnent la nausée… Heureusement, on sait que la révolution mange ses enfants, mais le doute plane désormais pour tous les Français : vous pourrez demain aller en prison sans preuve, mais pour une intention. »

Ces propos ont suscité eux aussi de vives réactions. Certains ont salué la prise de parole de la journaliste, estimant qu’elle posait des questions de fond sur l’équité du système judiciaire. D’autres ont critiqué son ton, estimant que la comparaison avec des affaires criminelles récentes pouvait être malvenue et polariser davantage le débat.

Une décision qui polarise

Le verdict fait, dès à présent, l’objet de débats tranchés. D’un côté, les soutiens de Nicolas Sarkozy dénoncent une décision jugée disproportionnée et symboliquement lourde pour un ancien président. De l’autre, des voix considèrent que la justice a suivi son cours et que le jugement doit être examiné dans le cadre strict des faits et des preuves présentées devant les tribunaux.

Sur les réseaux sociaux, les opinions se sont rapidement divisées. Certains commentaires relèvent d’un élan de solidarité envers l’homme politique, d’autres appellent au respect de la décision judiciaire et au non-mélange des registres émotionnel et institutionnel. Les prises de parole publiques, comme celles de Cécilia Attias et de Laurence Ferrari, contribuent à nourrir une atmosphère déjà très polarisée.

La condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison dans cette affaire marque une étape importante dans un dossier qui remonte à la campagne de 2007. Les réactions, tant personnelles que médiatiques, attestent de l’ampleur symbolique de cette décision et du débat qu’elle suscite sur la confiance des Français envers leurs institutions judiciaires et politiques.

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