Christine Bravo réclame 3 000 € par apparition télé pour couvrir ses frais (Corse, maquillage, garde d’animaux) et défendre la valeur des personnalités médiatiques

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Invitée du plateau de l’émission On refait la télé, Christine Bravo n’a pas cherché à adoucir son propos. Interrogée par le journaliste Éric Dussart et la chroniqueuse Jade sur sa présence éventuelle en tant qu’invitée, l’animatrice a répondu sans détour qu’elle n’accepte pas de participer à des émissions « sans un billet ». Les mots choisis ont surpris par leur franchise mais correspondent à l’image publique de Christine Bravo, connue pour son franc-parler.

3000 euros : le tarif affiché

Quand on évoque un « gros billet », Christine Bravo donne un chiffre précis : 3 000 euros. Elle présente ce montant comme une règle claire et non négociable pour venir sur un plateau lorsqu’elle n’a rien à promouvoir — pas de livre, pas de film, pas de pièce. « Ouais, parce que je n’ai rien à vendre », a-t-elle expliqué, avant d’ajouter : « Non seulement, je n’y vais pas sans un billet, mais c’est un gros billet. »

La somme peut surprendre pour quelques heures d’apparition télévisée. Pour Christine Bravo, ce tarif prend en compte plusieurs éléments concrets : le coût des billets d’avion depuis la Corse, où elle vit désormais, la garde des animaux, le maquillage et la coiffure, ainsi que le temps consacré à la préparation et aux suites de l’émission. « J’arrive, le maquillage, la coiffure, les journalistes après qui m’appellent comme vous, les parasites », a-t-elle lancé avec humour, provoquant les rires sur le plateau.

Elle insiste sur l’égalité du tarif : « C’est le même prix pour tout le monde. » Seule exception admise, selon elle, pour des émissions caritatives — à condition toutefois d’être déjà à Paris. Autrement, précise l’animatrice, difficile de la convaincre de venir sans cachet.

Réplique et contexte : argent et retraite

Le ton de la discussion est resté léger mais net. Éric Dussart n’a pas résisté à lâcher une réplique amusée : « Et Christine Bravo, c’est pas des blagues à deux balles, c’est des blagues à trois mille. » La séquence a ainsi mêlé humour et critique assumée du rapport des personnalités publiques à leur image.

La conversation s’est également étendue au thème de la retraite. Dans une ancienne interview avec Thierry Ardisson, Christine Bravo avait déclaré toucher « 1 000 balles ». Elle corrige aujourd’hui ce montant : sa pension de retraite réelle est de 3 000 euros. Elle reconnaît que ce chiffre lui paraît « confortable » comparé à de nombreux Français, mais le trouve décevant au regard de ce qu’elle a versé en impôts et cotisations au fil de sa carrière.

Sur ce sujet sensible, Christine Bravo ne cherche pas à se positionner en victime ; elle souligne plutôt un déséquilibre entre ce qu’elle a contribué et ce qu’elle perçoit. Cette position s’inscrit dans la continuité de ses prises de parole publiques, où l’argent et l’image personnelle sont traités sans tabou.

Ce que dit le passage et ce qu’il implique

La séquence de l’émission montre plusieurs choses : d’une part, l’importance que Christine Bravo accorde à la valorisation de son temps et de son image. D’autre part, elle illustre le phénomène fréquent des cachets exigés par les personnalités médiatiques lorsque leur présence n’est pas liée à la promotion d’un projet concret.

Les arguments avancés — frais de déplacement, logistique, préparation — sont régulièrement invoqués par des invités qui viennent de régions éloignées ou qui souhaitent être rémunérés pour leur exposition médiatique. Christine Bravo relativise néanmoins en ajoutant une exception pour le domaine caritatif, sous condition d’accessibilité géographique.

La séquence a été relayée sur les réseaux sociaux. On retrouve notamment ce court message partagé autour de l’extrait : « ‘J’y vais pas sans un billet’ Christine Bravo révèle le montant qu’elle demande pour être l’invitée d’une émission de télé. @OnRefaitLaTele avec @E_Dussart et Jade pic.twitter.com/titKKssDLd ».

En clair, Christine Bravo maintient une position franche et transparente sur la rémunération de ses apparitions médiatiques. Elle assume un prix fixe et explicite, justifié selon elle par des dépenses concrètes et une logique d’équité vis-à-vis des revenus générés par une émission.

Society News

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