Cameron Smet, 21 ans, se retrouve ces derniers mois sous le regard des médias et du public. Fils de David Hallyday et d’Alexandra Pastor, il suscite une attention croissante, d’abord pour sa ressemblance frappante avec son grand‑père Johnny Hallyday, ensuite pour des choix de vie qui semblent s’éloigner de l’héritage musical familial.
La ressemblance qui attire les regards
Le jeune homme a notamment été très remarqué après avoir tourné dans la nouvelle version du clip Sang pour sang. Les images ont ravivé les comparaisons : internautes et fans évoquent régulièrement un « portrait craché » de Johnny au même âge. Cette filiation visuelle alimente la fascination et provoque un afflux d’observations sur les réseaux sociaux.
David Hallyday a lui‑même commenté cette situation. Interrogé par Bernard Montiel sur RFM en octobre dernier, il décrivait l’étonnement de son fils face à l’engouement : « Le pauvre, il est dans tous ses états. Il n’a rien demandé ! Il est très étonné parce qu’il me dit, ‘Je suis à l’université, je n’ai rien fait encore’ ». Ces mots traduisent la surprise de Cameron, jeune étudiant qui ne cherchait pas à se placer sous les projecteurs.
Une pression paternelle, surtout psychologique
Malgré la bienveillance apparente des admirateurs, David Hallyday confie des inquiétudes concernant l’impact de ces comparaisons sur la construction personnelle de son fils. Selon un proche cité par Voici le vendredi 12 décembre 2025, David redoute que la permanence des rapprochements avec Johnny ne pèse sur Cameron : « Il est très heureux actuellement. Il a juste peur pour son fils. Ça l’angoisse qu’on puisse le comparer à Johnny. »
Cette crainte est avant tout psychologique. David connaît pour l’avoir vécu la réalité d’un nom lourd à porter et semble vouloir protéger Cameron d’une pression identitaire et médiatique autant que possible. L’anxiété évoquée vise moins un danger physique qu’un risque de voir la personnalité du jeune homme absorbée par un héritage hors norme.
Des aspirations personnelles loin des scènes
Contrairement aux spéculations qui accompagnent souvent les enfants de célébrités, Cameron ne paraît pas déterminé à embrasser une carrière musicale. David Hallyday l’a affirmé lors d’un échange avec Éric Dussart le 6 décembre sur l’émission On refait la télé (RTL) : son fils « n’a pas une passion particulière pour la musique ». Si certains estiment qu’il pourrait chanter, ce n’est pas sa priorité.
Aux études, Cameron serait plutôt engagé dans des cursus en lien avec le monde des affaires, un choix qui l’éloigne volontairement des projecteurs et des scènes. Son père décrit aussi une personnalité créative tournée vers d’autres domaines artistiques : la mode, le cinéma ou le dessin, des inclinations héritées en partie de sa mère, Alexandra Pastor. David ne se dit pas opposé à ce que son fils explore le cinéma si des opportunités se présentent.
Pour autant, David reconnaît la force de la ressemblance familiale. Lors de la même intervention sur RTL, il concédait : « Oui, il y a des photos où c’est assez bluffant. » Ce constat, partagé par de nombreux observateurs, entretient la fascination mais renforce aussi la volonté paternelle de veiller à ce que Cameron puisse construire sa propre identité.
À 21 ans, Cameron Smet se trouve donc à la croisée de regards admiratifs et d’attentes familiales. Plutôt qu’un destin tout tracé, ses choix universitaires et ses intérêts artistiques suggèrent le tracé d’une trajectoire personnelle, distincte de l’ombre de Johnny Hallyday — une trajectoire que son père, conscient des écueils d’un nom célèbre, s’efforce de protéger.


