Audrey Crespo‑Mara tacle les intrus aux obsèques de Thierry Ardisson, promeut son documentaire et défend la pudeur et le soutien des proches

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Depuis le décès de son mari en juillet dernier, Audrey Crespo‑Mara est revenue au centre de l’attention médiatique. Invitées successives de Quotidien et du Parisien, la journaliste du 20 heures de TF1 et de Sept à Huit a accepté d’être l’invitée d’honneur de Léa Salamé pour la première de la saison de Quelle époque.

Une présence médiatique assumée

Au cours de cet entretien, Audrey Crespo‑Mara poursuit la promotion du documentaire consacré au combat de Thierry Ardisson contre le cancer. Elle y revient sur les derniers mois de la vie de son époux, sur la discrétion avec laquelle il a vécu la maladie, et sur les funérailles qui ont suscité de vives émotions.

La journaliste, qui continue d’assurer ses rendez‑vous télévisés, a choisi d’user de la parole publique pour partager son deuil. Outre Quelle époque, elle avait récemment accordé des entretiens à d’autres médias, confirmant ainsi une volonté de raconter, sans s’étendre, ce qu’ils ont traversé en famille.

Un hommage sans concession à Saint‑Roch

Audrey Crespo‑Mara est revenue en détail sur la cérémonie à l’église Saint‑Roch, où, en plein discours, elle n’avait pas hésité à s’adresser à celles et ceux « qui n’avaient pas assez aimé et aidé » son époux de son vivant, mais qui étaient venus lui dire au revoir. Elle a cité une confidence de Thierry Ardisson avant les obsèques : « Il m’a dit : Cette cérémonie à Saint‑Roch, fais gaffe, ça va être le bal des faux culs. »

La veuve a assumé cette formule et précisé sa pensée : « Alors oui, il y a sans doute des gens ici qui ne t’ont pas assez aimé, mais il y a tous ceux qui t’ont infiniment respecté, admiré, adoré pendant tant d’années. » Interrogée par Léa Salamé sur la présence d’intrus, elle a confirmé : « Il est vrai que certaines personnes s’invitent… »

Elle a expliqué que, malgré ces témoignages ambivalents, elle a pu compter sur des proches fidèles et présents. Elle a notamment cité Laurent Baffie, Philippe Corti, et Léa Salamé parmi ceux qui ne l’ont pas lâché. Concernant Léa Salamé, Audrey Crespo‑Mara a rappelé que l’animatrice ne connaissait que peu Thierry Ardisson, mais que ce dernier avait apprécié leur entretien dans Quelle époque en mai dernier.

La pudeur d’un homme face à la maladie

Un autre volet majeur de l’entretien a porté sur la manière dont Thierry Ardisson a affronté la maladie. Audrey Crespo‑Mara a souligné sa discrétion : il « ne voulait ni se plaindre, ni se faire plaindre ». Selon elle, il a poursuivi son travail pendant des années, épuisé par ses traitements, sans montrer sa fatigue au public.

La journaliste a rappelé que le cancer était présent depuis 2012. Elle a aussi évoqué une récidive fulgurante, dont Thierry Ardisson souffrait depuis mars, et qu’il avait gardée pour lui lors de ses dernières apparitions médiatiques en mai dernier. « C’était notre combat intime. Il était très courageux, et il avançait », a‑t‑elle résumé.

Audrey Crespo‑Mara a ainsi dressé le portrait d’un homme fort et réservé, qui a choisi la pudeur plutôt que l’exposition, même lorsque ses semaines semblaient comptées. Son témoignage éclaire la complexité d’un deuil vécu à la fois en privé et sous le feu des projecteurs.

En se confiant sur ces points, la journaliste a combiné hommage personnel et mise à distance des polémiques entourant les obsèques. Elle a alterné moments d’émotion et remarques tranchantes, rappelant que, derrière la figure médiatique d’« Ardisson », il y avait un homme discret, soutenu par des proches fidèles mais également confronté à des relations ambiguës jusqu’à la fin.

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