Arielle Dombasle revient sur Amazone (De Broca) avec Belmondo : « très mauvais film » mais souvenirs précieux du tournage à Cuba bouleversé par un ouragan

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Arielle Dombasle a raconté, ce jeudi 25 septembre 2025, un souvenir de tournage pour le moins paradoxal : celui d’un film qu’elle reconnaît comme un « flop », mais dont elle garde un excellent souvenir. Invitée des Grosses Têtes, la comédienne, chanteuse et réalisatrice de 72 ans est revenue sur sa participation à Amazone, la dernière réalisation de Philippe de Broca, aux côtés de Jean‑Paul Belmondo.

Un film qualifié de « très mauvais » mais un souvenir chaleureux

Sur le plateau animé par Laurent Ruquier, Arielle Dombasle n’a pas hésité à nommer le long métrage. « Moi, j’ai fait le dernier film de Philippe de Broca avec Belmondo », a‑t‑elle déclaré avant de préciser : « Voilà, et ça s’appelait Amazone ». Le film est sorti en salles le 19 juin 2000.

Malgré le bilan critique et public mitigé du film, la comédienne insiste sur la richesse humaine et l’intensité de l’expérience de tournage. Elle a employé sans détours l’expression « très mauvais film », reprise ensuite par Laurent Ruquier et commentée sur le ton de l’ironie par plusieurs sociétaires de l’émission.

Synopsis et tonalité du film

Le synopsis, tel que présenté par Allociné, illustre le ton hybride de l’œuvre : comédie d’aventure teintée de science‑fiction. « Un engin venu du fond du cosmos abandonne sur Terre au milieu d’une forêt tropicale Lulu, une petite fille d’une dizaine d’années », rappelle la fiche. La jeune fille est découverte par Édouard, un misanthrope bourru et désagréable qui se cache dans la jungle pour échapper à la justice. Margaux, chargée de retrouver le mystérieux vaisseau, s’envole pour l’Amazonie accompagnée de militaires des services secrets français, qu’elle abandonne rapidement. Au fil de l’intrigue, Margaux croise la route d’Édouard et le contraint à lui servir de guide.

Cette construction, à la fois fantaisiste et aventureuse, n’a visiblement pas trouvé son public à la sortie. Les commentaires sur le plateau ont rappelé que, malgré la distribution de premier plan et la patte d’un réalisateur reconnu, le film n’a pas convaincu les spectateurs ni la critique.

Tournage à Cuba et souvenir d’un ouragan

Pourtant, au‑delà du résultat artistique, Arielle Dombasle garde un souvenir vif du tournage, notamment en raison des conditions météorologiques extrêmes. « Et c’était merveilleux parce qu’on a tourné à Cuba. Et il y avait un énorme ouragan », a‑t‑elle raconté, suscitant des réactions mêlées d’étonnement et d’ironie parmi les invités.

Les échanges sur le plateau ont pris un ton pince‑sans‑rire : plusieurs sociétaires ont décrit la scène avec une distance marquée, évoquant les toits qui s’envolaient et des images fortes du chaos, y compris, selon eux, des personnes en difficulté. Ces remarques, formulées sur le ton de la plaisanterie, soulignent à la fois la dangerosité des conditions et la capacité des équipes à poursuivre le travail malgré les éléments.

Laurent Ruquier a interrompu la conversation pour vérifier la distribution : « Vous jouiez Margaux, je suis en train de vérifier », a‑t‑il dit. Arielle Dombasle a confirmé en souriant et l’a taquiné : « Ah, vous voyez, vous vérifiez, c’est incroyable ». L’échange illustre la manière dont le souvenir d’un tournage peut mêler fierté, autodérision et sens du collectif.

Réception publique : des prix moqueurs et la mémoire du film

Si Arielle Dombasle se remémore ce tournage avec tendresse, le long métrage a aussi laissé une trace moins flatteuse dans l’histoire du cinéma populaire. Laurent Ruquier, sans parvenir à retrouver tout son sérieux, a évoqué le « Bidet d’or », une distinction satirique visant les films particulièrement mal reçus.

Le contraste est frappant : d’un côté, la rigueur imparfaite d’une production critiquée ; de l’autre, des anecdotes de plateau qui réchauffent la mémoire des acteurs impliqués. Pour Arielle Dombasle, l’expérience a manifestement conservé une saveur positive, preuve que le plaisir du tournage ne se réduit pas toujours à la réception critique.

En conclusion, le témoignage de la comédienne sur Les Grosses Têtes rappelle que la fabrication d’un film est une aventure collective, parfois chaotique, où la camaraderie et les événements imprévus peuvent primer sur le verdict des salles.

Mention : allocation des éléments du synopsis réalisée d’après la fiche Allociné, citée pendant l’émission.

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