Anne-Elisabeth Lemoine déclenche l’hilarité dans C à vous avec Benoît Poelvoorde en lâchant du c*l au lieu du culte lors de la promo de La Bonne Étoile

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C’est un fou rire dont seul le plateau de C à vous a le secret. Ce jeudi 6 novembre 2025, Anne-Elisabeth Lemoine recevait sur France 5 Benoît Poelvoorde et Pascal Elbé à l’occasion de la sortie du film La Bonne Étoile, une comédie dramatique signée Pascal Elbé, annoncée en salles dès le 12 novembre. L’émission a rapidement basculé du sérieux promotionnel à la bonne humeur générale, notamment lorsqu’un lapsus de l’animatrice a déclenché une hilarité communicative.

La Bonne Étoile : une satire en 1940

Porté par Benoît Poelvoorde, Audrey Lamy et Zabou Breitman, La Bonne Étoile se présente comme une satire tragi‑comique située en 1940, au moment où la France bascule dans la guerre et l’Occupation. Dans le film, Benoît Poelvoorde interprète Jean Chevalin, un homme ordinaire qui, sur un malentendu absurde, choisit de se faire passer pour juif, convaincu que « les juifs s’en sortent toujours mieux que les autres ». Cette conviction née d’une discussion de comptoir entraîne une suite de quiproquos à la fois drôles et tragiques.

Le scénario mêle ironie, humanité et poésie pour aborder la question de l’antisémitisme avec une tonalité assumée. « Ce film s’inscrit dans une forme de conte ou de fable. J’ai voulu traiter un sujet grave avec légèreté. Notre histoire est très riche, il ne faut pas l’oublier, ni en avoir honte. Ce rôle de transmission est bien pour les jeunes », a expliqué Pascal Elbé dans un entretien accordé au Journal de Saône‑et‑Loire.

Un lapsus mémorable sur le plateau

Invités pour présenter ce projet, Benoît Poelvoorde et Pascal Elbé ont rapidement instauré une ambiance bon enfant sur le plateau de C à vous. Fidèle à sa réputation d’acteur provocateur et au second degré tranchant, Poelvoorde a multiplié les traits d’humour, provoquant les rires des chroniqueurs et de la présentatrice.

Mais au moment d’évoquer le personnage principal, Anne‑Elisabeth Lemoine a vécu un moment de solitude savoureux. En plein développement, elle a glissé un mot de travers : « Vous vous êtes précipité en lisant le scénario, en disant ‘ce rôle, c’est pour moi !’ Ce Jean Chevalin, donc, persuadé qu’être juif peut lui porter chance en 40, se fait appeler Jacob… mais il ignore absolument tout du c*l », a‑t‑elle lancé avant de se reprendre aussitôt : « …du culte ! »

La bourde a été immédiatement relevée par Benoît Poelvoorde, qui s’est mis à rire aux éclats. « Ah ben ça, c’est une belle présentation ! Je me fais passer pour un juif qui ignore tout du c*l ! », a‑t‑il plaisanté, amplifiant le fou rire collectif. Les caméras de France 5 ont saisi la séquence : l’animatrice, les joues rouges, la main sur le visage, a tenté de reprendre le fil de l’interview sans réellement y parvenir pendant plusieurs instants.

Le ton de la séquence est resté bon enfant et complice. Aucun malaise durable n’a suivi, et l’échange a rapidement retrouvé son cap, alternant explications sur le film et répliques décalées. Le lapsus, bien que gênant sur le moment, a surtout servi de parenthèse comique, mettant en valeur la spontanéité des invités et de l’animatrice.

Sur les réseaux et dans les extraits diffusés après l’émission, la séquence a tourné comme un moment de télévision léger, rappelant que les plateaux en direct sont propices aux imprévus. Les images montrent une atmosphère de camaraderie et une équipe capable de rire d’elle‑même, illustration d’une émission où le sérieux promotionnel cohabite avec la décontraction.

Du côté du film, La Bonne Étoile apparaît ainsi comme un projet audacieux, qui cherche à traiter des thèmes graves par le biais du conte et de la comédie. Pour l’instant, l’essentiel des explications et des intentions artistiques provient notamment des déclarations de Pascal Elbé au Journal de Saône‑et‑Loire et des commentaires des comédiens lors de leurs passages médiatiques, dont celui de C à vous.

Reste à voir comment le public et la critique accueilleront ce mélange de ton, à la sortie en salles prévue dès le 12 novembre. En attendant, la séquence sur France 5 restera comme un exemple de ces instants imprévisibles qui font la singularité de la télévision en direct.

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