Diffusée samedi 6 décembre 2025, l’élection de Miss France 2026 n’a pas seulement suscité l’attention pour le couronnement de la nouvelle reine de beauté. Le traditionnel passage en maillot de bain a surtout déclenché une vague de réactions sur les réseaux sociaux, certains internautes jugeant les modèles plus audacieux que les années précédentes.
Très vite, une référence inattendue a émergé dans ces échanges : le nom de Sarah Fraisou. Des publications sur X (anciennement Twitter) ont comparé, souvent sur le ton de l’ironie, les maillots des candidates à une tenue portée par la candidate de télé‑réalité lors de son arrivée dans Les Princes de l’amour 2, en 2014.
Sarah Fraisou rappelée par les internautes
La photo qui a circulé montre Sarah Fraisou, plus de dix ans en arrière, débarquant dans l’émission Les Princes de l’amour 2 avec un top rose fluo très court et une jupe jaune vif fendue. Plusieurs utilisateurs ont partagé ce souvenir en parallèle avec les maillots portés sur la scène de Miss France 2026.
La principale intéressée n’a pas encore réagi publiquement à ce clin d’œil numérique. Il est donc impossible, pour l’heure, de savoir si elle commentera ces comparaisons après la diffusion du concours. Quoi qu’il en soit, son nom a bien été associé à l’événement le temps de quelques minutes, suite aux plaisanteries et remix visuels postés par des internautes.
Parmi les réactions, on retrouvait des commentaires laconiques et des images partagées en légende. Exemples publiés sur X : « L’inspiration du styliste des miss France 2026 🤣🤣 #missfrance2026 » ; « Le maillot de bain des Miss France » accompagné de la photo de 2014 ; ou encore « LA COULEUR DES MAILLOTS DE BAIN ???? » suivi d’un visuel identique. Certains messages comportaient des liens d’image type pic.twitter.com, partagés massivement.
Ces échanges relèvent d’un phénomène courant sur les réseaux : la confrontation humoristique entre références anciennes et looks contemporains. Ils n’impliquent pas nécessairement une volonté de nuire, mais traduisent l’essoufflement des internautes face aux codes vestimentaires régulièrement réutilisés ou revisités.
La chute de Miss Midi‑Pyrénées lors du défilé
Outre ces détournements d’images, la soirée a été marquée par un autre moment commenté : la chute d’une candidate. Miss Midi‑Pyrénées, Léa Chabrel, a perdu l’équilibre au cours d’un passage inspiré de la Rome antique.
Le défilé mettait en scène des tenues composées de bottes hautes, d’un corset doré et d’un voilage aérien. C’est précisément ce voilage qui, selon les images de la prestation, a semblé gêner ses appuis lorsqu’elle retournait dans les rangs.
La candidate est tombée sans, apparemment, se blesser. Impossible pour l’instant d’établir si cet incident a pesé sur le jugement final : Léa Chabrel n’a pas figuré dans le Top 12 annoncé à l’issue de la soirée. Le jury de cette édition était présidé par la comédienne Michèle Bernier.
Ce type d’imprévus sur scène rappelle la fragilité des passages en direct, surtout lorsqu’ils impliquent des costumes spectaculaires ou des accessoires susceptibles d’entraver la mobilité. Les images de la chute ont, comme souvent, alimenté discussions et commentaires sur les réseaux.
Au final, la cérémonie de Miss France 2026 a été ponctuée à la fois par la cérémonie officielle et par ces micro‑événements viraux : références mode, détournements d’archives et incidents de plateau. Ils donnent à la soirée une visibilité additionnelle, parfois éclipsant le résultat même du concours, au moins dans les quelques heures qui ont suivi la diffusion.


