Le 15 décembre 2025, Kamel Ouali souffle ses 54 bougies. Révélé au grand public comme chorégraphe et professeur emblématique de la Star Academy, il est aussi l’auteur de comédies musicales à succès — Les Dix Commandements, Le Roi Soleil ou Cléopâtre – La Dernière Reine d’Égypte — qui ont marqué la scène artistique française. Cette année, c’est une facette plus intime de l’artiste qui retient l’attention : celle de père de famille.
Une carrière de scène et une vie privée protégée
Depuis des décennies, Kamel Ouali occupe une place singulière entre télévision et scènes de théâtre musical. Sa signature chorégraphique et son exigence artistique lui ont valu une visibilité importante. Pour autant, l’homme reste discret sur sa vie personnelle et a longtemps choisi de préserver l’intimité de sa famille face aux médias et aux paparazzis.
Cette volonté de protection explique en partie le peu d’informations disponibles jusqu’à récemment sur sa paternité. Si le public savait qu’il était père, les contours exacts de sa famille n’avaient jamais été complètement dévoilés.
Quatre enfants révélés : Rock, France, Dante et Ava
C’est en 2025 que Kamel Ouali a levé un voile : il est papa de quatre enfants. La précision a été donnée au printemps, lors de l’émission 50’Inside, où il a confié sur un ton à la fois simple et fier : » Je n’en ai pas deux, j’en ai quatre. J’ai Rock, Dante, France et Ava ».
Parmi eux, Rock est le premier enfant connu du grand public. Né en mai 2021, il avait été présenté par son père via une photo prise de dos, choix symbolique pour préserver son anonymat. Le 1er janvier 2024, Kamel Ouali a annoncé la naissance de France, partageant exceptionnellement une image de sa fille sans en montrer le visage.
Les deux derniers prénoms — Dante et Ava — ont vraiment surpris l’opinion publique : ils n’avaient jamais été évoqués ni sur les réseaux sociaux ni en interview avant juin 2025. Le chorégraphe a indiqué que ses enfants ont des âges rapprochés, nés à » un, deux, trois et quatre ans » selon ses propres mots, signalant une fratrie aux années de naissance serrées.
Un père présent malgré un agenda chargé
Malgré des horaires de travail souvent intenses, Kamel Ouali insiste sur sa présence quotidienne auprès de ses enfants. Il raconte qu’il les accompagne à l’école, qu’il les récupère et qu’il les couche le soir. Puis il reprend le travail, parfois tard : « je peux bosser jusqu’à 2 heures du matin ». Cette organisation traduit une volonté de concilier vie professionnelle et responsabilités familiales.
Pour lui, la paternité est une évidence : » Depuis gamin, je ne pouvais pas concevoir ma vie sans avoir d’enfants ». Il résume sa méthode en quelques mots simples et affectueux : » beaucoup d’amour ». Chaque jour, dit-il, il veille à ne pas manquer une occasion de répéter » je t’aime » à ses enfants — un geste qu’il décrit comme instinctif, presque « animal ».
Protéger l’intimité d’une famille au cœur de l’attention publique
La discrétion de Kamel Ouali sur la naissance et l’existence de deux de ses enfants n’était pas due à une forme d’oubli, mais à un choix assumé. Il explique avoir volontairement publié des photos de ses enfants de dos pour éviter toute exposition médiatique. Cette prudence s’explique par la volonté de leur offrir un cadre de vie le plus normal possible, loin des intrusions.
Lorsque la paternité a été rendue publique, l’émotion a trouvé un écho dans d’autres émissions. Dans La Boîte à Secrets, ses quatre enfants lui ont adressé un message filmé : « Papa, je t’aime ! ». Très ému, le chorégraphe, qui a pleuré en direct, a déclaré que ses enfants représentaient « la plus belle chose de sa vie ».
À 54 ans, Kamel Ouali continue d’être un artiste engagé et actif. Mais sa vie familiale, maniée avec discrétion et tendresse, prend aujourd’hui une place centrale. Entre les répétitions et les spectacles, il a construit un cocon où il veille à apporter stabilité, présence et protection à Rock, France, Dante et Ava — une oeuvre familiale, intime, qu’il partage désormais, sans renoncer à la confidentialité qu’il juge nécessaire.


