Depuis quelques jours, les tensions conjugales entre Jimmy Mohamed et son épouse Souailla se déroulent sous les yeux du public. La jeune femme a utilisé son compte Instagram pour publier une série de stories dénonçant le comportement de son mari, transformant des affaires privées en débat public sur la santé mentale et la violence psychologique au sein du couple.
Des stories accusatrices et une première publication supprimée
« Je suis arrivée au bout du bout du rouleau. Quand vous subissez une injustice et que, derrière, la personne parle d’amour, de soutien de la femme enceinte ou de santé mentale, quand on a traversé ce que j’ai vécu, il y a de quoi craquer par ce manque de décence au vu de la situation », a écrit Souailla dans l’une de ses stories, pointant un « comportement toxique » de son époux.
Selon les éléments publiés par la jeune femme, l’escalade a commencé quelques jours plus tôt avec une première story rapidement supprimée. Cette réaction faisait suite à une chronique donnée par Jimmy Mohamed sur RTL, traitant de la santé mentale des adolescents. En réponse, Souailla s’était emportée : « Moi je me demande comment aider une personne victime de violences psychologiques par son mari, un médecin. Qui va jusqu’à essayer de faire croire qu’elle a des hallucinations. »
Elle a ensuite publié plusieurs photos de la voiture de l’animateur du Mag de la santé sur France 5, accompagnées de commentaires sur ce qu’elle présente comme son « régime alimentaire très calorique ». Ces publications, visibles dans ses stories, ont contribué à rendre la dispute encore plus visible aux abonnés.
Une nuit d’affrontements et le relais d’une chronique sur les relations toxiques
La tension n’est pas retombée. Dans la nuit suivante, Souailla a partagé une chronique de Mosimann diffusée sur France Inter. Le DJ, également présenté comme ancien gagnant de la Star Academy, y évoque avec force la réalité des relations toxiques. Sans ajout de texte, elle a reposté l’extrait, laissant parler le contenu.
Mosimann y développe des idées fortes sur l’impossibilité parfois de « réparer » l’autre : « Il y a des histoires où l’on croit encore que l’amour peut tout ; qu’il soulève, qu’il répare, qu’il redonne souffle. Qu’une présence peut suffire à renverser le destin. On s’invente des trucs complètement dingues, comme croire qu’on peut réparer quelqu’un alors qu’on n’a jamais eu les outils pour soi-même. »
Le chroniqueur décrit ensuite la désillusion face aux mécanismes de l’emprise : « On s’use, on s’abîme (…) Et puis un jour, la vérité tombe : simple, brutale. On ne peut pas sauver l’autre. Pas d’une addiction, pas d’une emprise, pas d’un homme qui manipule, ni d’une femme qui dévore. Pas de ces violences invisibles qui rampent (…) On ne sauve pas quelqu’un qui pour tenir debout a besoin qu’on tombe. »
Ces passages, relayés par Souailla, ont été perçus par certains de ses abonnés comme un message direct adressé à Jimmy, voire comme un « dernier je t’aime » publié en guise d’adieu affectif. La tonalité publique de ces partages atteste d’une rupture de la sphère privée et accentue l’intérêt médiatique autour du couple.
Une affaire exposée aux regards et aux commentaires
En quelques jours, la dispute a généré réactions et interrogations sur les réseaux. Les publications de Souailla mêlent accusations explicites et références à des chroniques médiatiques, ce qui rend le récit à la fois personnel et ancré dans l’actualité audiovisuelle — RTL, France 5 et France Inter étant ici mentionnés.
L’utilisation d’Instagram comme tribune a permis à la jeune femme de mettre en lumière ce qu’elle décrit comme des violences psychologiques. Les propos relayés, notamment ceux s’adressant aux mécanismes d’emprise et de manipulation, ont suscité des soutiens en ligne ainsi que des discussions sur la manière dont les couples exposent leurs conflits aujourd’hui.
Les publications comportant des éléments visuels — photos de véhicule et extraits audio — ont été partagées auprès d’un public large, contribuant à la viralité de l’affaire. Certaines stories ont été supprimées, selon Souailla, ce qui laisse entendre une gestion évolutive et parfois contradictoire du contenu par les protagonistes.
Ce que l’on sait et ce qui reste à éclaircir
Les faits rapportés proviennent des publications de Souailla sur Instagram et de chroniques diffusées sur des radios et télévisions citées dans ces stories. Les accusations de violences psychologiques et de tentative de faire passer la victime pour hallucinante figurent textuellement dans ses messages. En revanche, les éléments d’enquête extérieure, réponse officielle de Jimmy Mohamed ou vérifications indépendantes n’apparaissent pas dans les contenus partagés et ne sont pas disponibles dans l’espace public au moment de la publication de cet article.
Quoi qu’il en soit, la mise en scène publique de ces tensions met en lumière la difficulté de concilier vie privée et notoriété. Les proches, abonnés et observateurs attendent désormais d’éventuelles prises de parole ou clarifications, alors que le débat autour des violences psychologiques et de la santé mentale reste au cœur des échanges.


