Laurence Boccolini confirme son choix : elle ne participera pas à Les Traîtres
Laurence Boccolini est au centre des conversations depuis l’annonce, en octobre dernier, de son départ de France Télévisions. Après plusieurs mois de tensions publiques et d’échanges contractuels avec la direction, l’animatrice a officiellement quitté le groupe, expliquant que des conditions imposées par la chaîne rendaient toute poursuite impossible.
Depuis son départ, son nom avait été évoqué pour la prochaine saison de Les Traîtres sur M6, une émission très suivie présentée par Éric Antoine. Plusieurs rumeurs la donnaient candidate ou invitée dans la sixième édition du programme. Mais, selon nos informations, Laurence Boccolini a décliné l’offre de la production. « Elle a tout simplement dit non à la production de la célèbre émission télé », indique la source.
Pourquoi elle a refusé : un choix assumé
Le refus de rejoindre Les Traîtres intervient après des mois de discussions autour de ses engagements professionnels. L’animatrice, qui disposait désormais de temps libre après son départ de France Télévisions, avait pourtant suscité l’intérêt des équipes de casting. Plusieurs personnalités sont déjà pressenties pour la saison 6, parmi lesquelles Adriana Karembeu, Sophie Davant, Victoria Abril ou encore Passe-Partout.
Malgré ces propositions et l’attention médiatique, Laurence Boccolini a choisi de ne pas s’engager dans ce programme. À ce jour, elle n’a pas détaillé publiquement les raisons précises de son refus au-delà de son souhait de ne pas accepter certaines contraintes professionnelles. Il reste possible qu’elle annonce d’autres projets à l’avenir, mais rien n’a été officialisé pour l’heure.
Rappel des raisons de son départ de France Télévisions
Le départ de Laurence Boccolini de France Télévisions a été motivé, selon ses déclarations, par des désaccords contractuels avec la direction. L’animatrice a dénoncé une volonté d’imposer une clause d’exclusivité totale, condition qui, d’après elle, aurait limité ses possibilités de travailler sur d’autres projets extérieurs.
Dans un message relayé à l’AFP, elle avait écrit : « Je prends à regret la décision de quitter France TV. Je ne le fais pas de gaîté de cœur. Mais France TV, dans d’ultimes tractations menées avec mon conseil, a eu des exigences que je n’accepte pas ». Elle ajoutait ne pas pouvoir accepter qu’en échange de quelques émissions en prime time et de l’animation du programme court Mot de Passe elle doive se rendre exclusivement à la chaîne, et renoncer notamment à une interview donnée à Jordan De Luxe.
Laurence Boccolini a également évoqué son éviction soudaine de l’émission Les Enfants de la télé, où elle a été remplacée par Faustine Bollaert. Elle a confié avoir mal vécu cet épisode, qui a contribué aux tensions entre elle et la direction. Après plusieurs discussions, aucun accord n’a été trouvé et son départ a été officialisé.
Un casting des Traîtres qui se précise sans elle
La production de Les Traîtres continue de peaufiner le casting de la saison 6. Le show, qui s’inspire des règles du célèbre jeu Loups-Garous, réunit chaque saison des profils variés issus de la télévision, du sport, des réseaux sociaux et du spectacle. Le nom de Laurence Boccolini figurait parmi ceux étudiés par la production, mais son refus met un terme définitif à cette hypothèse.
Parmi les personnalités déjà évoquées ou approchées, Adriana Karembeu, Sophie Davant et Victoria Abril reviennent régulièrement dans les listes de candidats potentiels. La production devrait annoncer d’autres noms dans les semaines à venir, alors que les préparatifs de tournage se poursuivent.
Quelle suite pour l’animatrice ?
Depuis l’officialisation de son départ, Laurence Boccolini a confirmé qu’elle ne souhaitait pas revenir sur sa décision. L’animatrice reste silencieuse quant à ses projets immédiats, et aucune nouvelle collaboration n’a été confirmée publiquement.
Si elle a écarté la piste Les Traîtres, son avenir professionnel dans l’audiovisuel reste ouvert. Les propos qu’elle a tenus au moment de quitter France Télévisions montrent sa volonté de garder une liberté dans ses engagements. Reste à savoir si de nouvelles propositions compatibles avec cette exigence lui seront faites dans les prochains mois.
