TPMP : Louise, repérée sur le plateau par Cyril Hanouna et Jean‑Luc Reichmann, obtient une alternance en montage audiovisuel chez TF1

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Le coup de pouce orchestré en direct par Cyril Hanouna sur le plateau de Touche pas à mon poste a pris une tournure heureuse pour Louise, une étudiante en alternance repérée dans le public. Présente avec sa classe de Paris Sup de Com le 26 novembre 2024, elle avait été invitée à monter sur le plateau et avait expliqué qu’elle cherchait une alternance en audiovisuel comme monteuse. Un an après ce premier contact, la jeune femme a finalement intégré une équipe à TF1, comme l’ont révélé des images publiées récemment par Jean-Luc Reichmann.

Un appel en direct et deux parcours lancés

Sur le plateau de TPMP, Cyril Hanouna n’a pas laissé tomber les deux jeunes femmes présentes dans le public. Après avoir appris que l’une cherchait un stage en communication et l’autre une alternance en montage audiovisuel, il a mobilisé ses contacts pour tenter de les aider.

Pour Rita, la procédure a été rapide : Hanouna a appelé un membre de la société de production H2O et la jeune femme a pu décrocher un stage et commencer peu après. Quant à Louise, la situation était plus délicate. Cyril Hanouna a contacté plusieurs personnalités du PAF, dont Cyril Féraud et Jean-Luc Reichmann. Ce dernier a finalement rappelé et a demandé à parler directement à Louise pour évaluer ses motivations.

La jeune fille a résumé sa détermination en quelques mots, lors d’un échange rapporté par l’émission : « J’ai déménagé à Paris pour mes études, je suis hypermotivée ». Conquis, Jean-Luc Reichmann lui avait assuré qu’il s’occuperait de son dossier et qu’elle pourrait commencer « début 2025 ».

Des mois d’attente, puis la bonne nouvelle

Après cette promesse, plusieurs mois se sont écoulés sans nouvelles publiques : « Premier trimestre, pas de nouvelles. Deuxième trimestre, pas de nouvelles », relate le récit des événements. Mais la persévérance a fini par payer : Jean-Luc Reichmann a posté une vidéo ce mardi 2 décembre confirmant que Louise travaille désormais en alternance au sein d’une structure liée à TF1 et qu’elle poursuivra son contrat jusqu’au mois d’août.

Dans la vidéo, tournée alors que l’animateur était en plateau pour le tournage de la série Léo Mattéi, Reichmann se réjouit : « On a réussi notre pari ! Louise est là et elle fait son alternance jusqu’au mois d’août ». Il ajoute en direction de Cyril Hanouna : « Elle était dans ton public. Voilà, c’est grâce à toi, c’est grâce à nous », puis demande au public de l’applaudir.

Un geste salué mais encadré

Le déroulé public de cette aide met en lumière la mécanique parfois informelle qui unit figures du PAF et jeunes candidats. L’intervention de personnalités médiatiques a permis d’accélérer le placement de deux étudiantes, l’une en stage chez H2O, l’autre en alternance à TF1. Dans ce contexte, Jean-Luc Reichmann a lui-même rappelé, avec humour, une réalité du milieu : « le problème de l’alternance, c’est qu’il faut donner de l’oseille », citation rapportée lors des échanges — un constat sur le financement des contrats en alternance et sur la capacité des structures à soutenir les jeunes recrues.

Pour Louise, qui avait déjà fait le choix de s’installer à Paris pour ses études, cette alternance constitue une première expérience pratique importante et un prolongement concret d’un soutien médiatique déclenché en direct.

La visibilité comme catalyseur

L’affaire illustre aussi la portée des émissions grand public : un passage dans le public d’un talk-show peut se transformer en opportunité professionnelle lorsqu’un animateur décide d’appeler ses contacts en direct. Sur les réseaux, des extraits de l’intervention ont circulé, dont un tweet diffusé lors de l’opération initiale : « On tente de rappeler @JL_Reichmann en direct pour trouver une alternance à Louise qui est dans notre public ce soir ! ❤️ #TribuDeBaba pic.twitter.com/O0rKEXp8iB ». Plus récemment, la courte vidéo de Reichmann a été partagée pour remercier ceux qui ont aidé au placement.

Reste que ce type d’issue, heureuse pour les bénéficiaires, ne constitue pas une solution systémique au sujet de l’employabilité des jeunes en alternance. Il s’agit d’un exemple ponctuel où le réseau et la visibilité ont permis de franchir des obstacles administratifs et financiers. Pour Louise et Rita, la finalité est avant tout concrète : une formation en alternance et un pied dans le monde professionnel de l’audiovisuel.

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