Zahia Dehar révèle une relation toxique, séquelles cardiaques liées au stress selon un cardiologue et reconstruction personnelle entre cinéma, lingerie et médias

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Zahia Dehar, ancienne figure des tabloïds devenue comédienne, poursuit la reconstruction de son image et de sa carrière. Longtemps associée à un scandale médiatique, elle a progressivement tourné la page en multipliant les projets artistiques : plusieurs films à son actif — « De Joséphine s’arrondit » à « Une fille facile » —, un rôle récent dans la série Capitaine Marleau aux côtés de Corinne Masiero, et le lancement d’une marque de lingerie. Ces dernières années, elle est également apparue fréquemment dans les médias et les podcasts pour évoquer son parcours personnel et professionnel. Parmi ces interventions, une récente conversation dans le podcast Sous les jupes des femmes, animé par Audrey Dana, a attiré l’attention pour les confidences qu’elle y a livrées sur une relation passée et ses conséquences sur sa santé mentale et physique.

Une relation toxique aux répercussions physiques

Dans cet entretien, Zahia Dehar a raconté avoir été, pendant une longue période, sous l’emprise d’un homme violent. Elle rapporte des conséquences médicales directes liées au stress qu’elle aurait subi. « J’ai les vraies preuves de ce qu’il a créé physiquement chez moi. J’ai fini chez un cardiologue à l’âge de 30 ans », a-t-elle déclaré à Audrey Dana.

Elle ajoute avoir reçu un diagnostic reliant une anomalie cardiaque à un épisode de stress intense : « Il m’a dit ‘vous n’êtes pas née avec cette anomalie, c’est lié au stress, vous avez vécu quelque chose d’extrêmement stressant et quand vous serez dans un environnement plus sain et calme, ça va repartir’. Il m’a donné des traitements en attendant. » Ces propos décrivent un lien établi par un praticien entre l’état cardiaque de la comédienne et le stress psychologique subi.

Des séquelles psychologiques et une vie bouleversée

Au-delà du constat médical, Zahia Dehar évoque les séquelles psychologiques qui ont suivi la rupture. Elle explique avoir souffert ce qu’elle qualifie de stress post-traumatique : « Plus j’étais loin de lui et plus mon cœur se remettait à battre, des mois plus tard. Mais là, c’était douloureux, j’avais l’impression de devenir folle. Je n’arrivais plus à dormir, mon cœur battait trop fort. Mon corps était en surexcitation, agité en permanence. C’était handicapant. »

Ces symptômes, décrits par la comédienne, traduisent un état de grande tension et d’hypervigilance, qui a affecté son quotidien et sa capacité à mener une vie « normale » après la relation. Elle confie que même lorsqu’elle tentait de ne pas penser à ces événements, son corps restait en alerte.

« Je ne pouvais plus faire ma vie, même quand je ne voulais pas penser à lui. Mon corps était en alerte à cause de ces séquelles… Maintenant, à chaque fois qu’une personne veut me stresser, même pas sentimentalement, ça recommence et je me sens encore plus mal. Je veux les éviter, tous les manipulateurs », a-t-elle expliqué, résumant la difficulté à retrouver un environnement émotionnel serein.

Reconstruire une carrière et une vie après le traumatisme

Le récit de Zahia Dehar illustre la double réalité de certaines personnalités publiques : la visibilité professionnelle d’un côté, et les blessures personnelles souvent invisibles de l’autre. Depuis ses débuts sous les projecteurs, elle a cherché à redéfinir son image, se tournant vers le cinéma et l’entrepreneuriat. Son parcours récent, entre rôles à l’écran et initiatives commerciales, montre une volonté de diversification et de résilience.

Ses confidences dans le podcast ont suscité de l’émotion et des réactions autour de la façon dont les violences psychologiques et le stress chronique peuvent se manifester physiquement. Zahia Dehar a choisi de partager son expérience publiquement, ce qui peut contribuer à élargir la conversation sur la santé mentale et les conséquences à long terme des relations toxiques.

Ce que disent ses propos

Les éléments cités dans cet article sont extraits de l’entretien accordé par Zahia Dehar à Audrey Dana dans le podcast Sous les jupes des femmes. Elle décrit un diagnostic médical et des symptômes ressentis après la fin d’une relation qu’elle qualifie de toxique. Ces déclarations relèvent du témoignage personnel et reflètent son ressenti et son expérience. Elles mettent en lumière l’impact du stress sur la santé et la difficulté de se reconstruire après des expériences traumatisantes.

En choisissant de parler publiquement, Zahia Dehar ajoute une dimension personnelle à sa trajectoire professionnelle, marquée aujourd’hui par des engagements artistiques et entrepreneuriaux. Ses confidences rappellent que la notoriété n’empêche pas les blessures intimes, et que la parole des personnes concernées reste une source importante d’information et de sensibilisation.

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