Miss Univers 2025 : Fatima Bosch visée par des allégations et des menaces, démission envisagée — Praveenar Singh (Thaïlande) pourrait succéder

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Nul doute que la participation d’Eve Gilles à Miss Univers 2025 restera dans les mémoires. La jeune Nordiste de 22 ans, élue Miss France 2024, était l’une des prétendantes les plus attendues lors de la cérémonie du 21 novembre à l’Impact Arena de Pak Kret, en Thaïlande. Elle a été éliminée aux portes du Top 12, laissant la couronne à Fatima Bosch, Miss Mexique, âgée de 25 ans.

Des débuts déjà tendus à Bangkok

À peine arrivée à Bangkok, Fatima Bosch a été visée par une polémique impliquant un responsable du concours. Lors d’une réunion préparatoire, Nawat Itsaragrisil — récemment évincé, selon les éléments rapportés — aurait traité la candidate de « débile », provoquant la colère des autres participantes présentes dans la salle. Cet épisode a été relayé par plusieurs témoignages et a contribué à une atmosphère déjà sensible autour de l’élection.

La proclamation de la nouvelle Miss Univers aurait dû clore la querelle, mais d’autres affaires ont rapidement pris le relais et frappé la crédibilité de l’organisation dans l’opinion publique.

Soupçons et inculpations touchant l’entourage du concours

Le journal mexicain Reforma a publié des informations retentissantes : Raúl Rocha, présenté comme président et copropriétaire de Miss Univers, ferait l’objet d’une inculpation pour crime organisé ainsi que pour trafic de drogues, d’armes et de carburant. Selon plusieurs médias mexicains, Raúl Rocha serait par ailleurs lié à Bernando Bosch, le père de Fatima Bosch. Ces rapprochements ont été largement commentés au Mexique, mais doivent être considérés comme des allégations rapportées par la presse.

Parallèlement, un autre sujet sulfureux concerne Anne Jakapong Jakrajutatip, copropriétaire du concours en Thaïlande. Plusieurs sources évoquent un mandat d’arrêt émis à son encontre dans le cadre d’une enquête pour fraude portant sur 930 000 dollars. Ces accusations, si elles sont confirmées, creuseraient une crise majeure pour l’image du concours.

La lauréate Fatima Bosch a dit avoir subi les retombées de ces affaires. Le 25 novembre, elle a déclaré avoir été la cible « d’insultes, d’attaques et même de menaces de mort » en lien avec les soupçons pesant sur certains responsables. Selon les informations disponibles, la pression serait telle que la nouvelle Miss Univers envisagerait de quitter ses fonctions, une option qui alimente désormais de nombreuses spéculations.

Qui succéderait à Fatima Bosch en cas de démission ?

La question de la succession est rapidement devenue centrale. Dans une story publiée le 27 novembre sur son compte Instagram, Sylvie Tellier s’est interrogée sur le scénario de remplacement : « Si Miss Univers renonce à son titre, élection annulée ou est-ce que Miss Thaïlande est élue par forfait en 2002 ? » Elle faisait référence au précédent de 2002, lorsque la Russe Oxana Fedorova avait été détrônée pour manquement à ses obligations et remplacée par Justine Pasek, alors première dauphine, qui avait assumé le titre.

Concrètement, si Fatima Bosch décidait de renoncer à son titre, la procédure la plus logique serait la montée en grade de la première dauphine. Dans le cas présent, il s’agit de Praveenar Singh, Miss Thaïlande. Cette option correspond au mécanisme appliqué lors de précédents incidents dans l’histoire de Miss Univers.

Cependant, d’autres scénarios ont été évoqués publiquement. Jordi Martín, collaborateur de l’émission El Gordo y La Flaca, a affirmé que la couronne pourrait revenir à Victoria Kjaer, représentante du Danemark et — selon ses propos — « Miss Univers 2024 », prolongeant ainsi son règne jusqu’en 2026. Cette affirmation est à considérer comme une déclaration rapportée et n’a pas été confirmée officiellement par l’organisation du concours.

Une situation délicate et incertaine

L’ensemble de ces révélations et allégations jette une ombre sur l’élection de Miss Univers 2025. Entre accusations judiciaires visant des responsables liés au concours et pressions subies par la nouvelle reine, la situation reste évolutive et sujette à vérification. Les informations diffusées par la presse mexicaine, les déclarations officielles de Fatima Bosch et les remarques relayées sur les réseaux sociaux alimentent un débat qui devrait continuer d’évoluer dans les jours à venir.

Pour l’heure, aucune annonce définitive n’a été rendue publique concernant une éventuelle démission, une destitution ou un changement de titulaire. Les scénarios évoqués restent pour l’instant des hypothèses basées sur des précédents et des déclarations de personnalités médiatiques.

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