L’annonce de leur séparation, révélée en juillet dernier, avait été perçue comme un véritable séisme dans la sphère médiatique : Faustine Bollaert et l’écrivain Maxime Chattam, couple connu et suivi depuis plus de quinze ans, seraient séparés depuis plusieurs mois. Ni l’animatrice ni le romancier n’ont commenté publiquement cette information, qui a alimenté de nombreuses interrogations tant auprès des médias que du public. Le couple est le parent de deux enfants, Abbie, 12 ans, et Peter, 10 ans, détails rappelés à chaque mention de leur vie privée et qui ajoutent de l’émotion au suivi médiatique de cette séparation présumée. Faustine Bollaert poursuit quant à elle ses activités à l’écran avec la discrétion qu’on lui reconnaît, notamment à la présentation de l’émission Ça commence aujourd’hui.
Un retour médiatique marqué par un nouveau roman
Le romancier, âgé de 49 ans, est récemment réapparu dans les médias à l’occasion de la sortie de son nouveau livre, intitulé « 8,2 secondes », dévoilé le 5 novembre. Dans les colonnes de Paris Match, Maxime Chattam s’est confié sur une année particulièrement éprouvante, sans évoquer directement la vie de couple. Son entretien décrit une période de bouleversements personnels qui ont profondément marqué son quotidien et sa création littéraire. Cette prise de parole arrive après plusieurs mois de silence, et son récit a été largement relayé par la presse.
Une année noire : deuils et introspection
Dans l’interview, l’auteur admet avoir traversé « une période très sombre l’année dernière ». Il détaille deux pertes successives qui l’ont profondément affecté : la mort de son père, puis, trois semaines plus tard, la disparition de son meilleur ami. « Après la mort de mon père, j’ai perdu mon meilleur ami en trois semaines », confie-t-il, soulignant l’intensité du choc émotionnel vécu sur une courte période.
Face à ces deuils, Chattam décrit un travail d’introspection : « Quand ma vie personnelle a basculé, il y a un an, j’en ai profité pour m’interroger sur moi… ». Ces mots traduisent une volonté de comprendre et de transformer l’expérience du chagrin en un moteur de reconstruction. Plus éloquente encore, sa métaphore illustre le lent processus de remontée après l’effondrement : « Lorsque l’on est en bas, on ne peut que remonter. Il faut accepter, et puis après, on met des coups de pelle dans les gravats et on reconstruit avec intelligence ».
Ces déclarations donnent à voir un écrivain confronté à la fragilité de l’existence et cherchant, par la parole et l’écriture, à tirer des leçons de cette période noire. Elles expliquent aussi, en partie, pourquoi la sphère privée demeure protégée : au cœur d’un travail de reconstruction personnel, la discrétion apparaît comme un choix assumé.
Transformation physique et nouveaux rituels
Au-delà du choc émotionnel, Paris Match rapporte une transformation physique visible chez l’écrivain. Selon le magazine, Maxime Chattam a perdu 25 kilos, s’est remis au sport et s’est découvert une passion pour la cuisine. Ces changements s’inscrivent, d’après ses propos, dans une dynamique de reprise en main et de renouveau. La perte de poids et l’adoption d’une hygiène de vie plus active sont présentées comme des étapes concrètes de sa reconstruction après des mois difficiles.
Cette quête de renouveau tient à la fois du rééquilibrage corporel et d’un recentrage mental. Reprendre le sport et éprouver du plaisir à cuisiner témoignent d’une recherche d’ancrage et de nouveaux repères du quotidien. Le romancier lie explicitement ces modifications de son mode de vie à sa volonté d’avancer, et indique que ce nouveau rythme nourrit également son inspiration littéraire.
Silence et questions autour du couple
Malgré ce retour sous les projecteurs, la question de la séparation présumée avec Faustine Bollaert reste peu commentée par les principaux concernés. L’absence de déclaration officielle de part et d’autre maintient une part d’incertitude autour de leur situation personnelle. Les éléments publics connus — la révélation en juillet, la discrétion de Faustine Bollaert, la reprise médiatique de Maxime Chattam et sa confidence à Paris Match — dessinent cependant un portrait d’une période charnière pour l’écrivain.
Ce que l’on peut affirmer avec certitude tient aux faits rendus publics : la révélation de juillet concernant une séparation supposée, les âges des deux enfants, la sortie du roman « 8,2 secondes » le 5 novembre, et les confidences de Maxime Chattam sur ses deuils, sa perte de poids de 25 kilos et ses nouvelles habitudes. Au-delà des rumeurs, l’ensemble de ces éléments montre un homme qui, confronté à des pertes majeures, s’efforce de rebâtir sa vie tant sur le plan personnel que professionnel.


