Patrick Sébastien règle ses comptes après Le Crayon : attaque contre Léa Salamé et critique cinglante de Jean‑Luc Mélenchon lors de la promo de Même pas peur

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En pleine promotion de son livre Même pas peur, paru aux éditions XO le 16 octobre dernier, Patrick Sébastien multiplie les interviews. Ce dimanche 9 novembre 2025, l’animateur était l’invité du média Le Crayon, où il s’est prêté au jeu du « Peuple ou pas peuple ? » lors d’un entretien relayé par plusieurs plateformes.

Léa Salamé au cœur d’un différend

Après avoir cité Kylian Mbappé comme représentant du « peuple », Patrick Sébastien n’a pas ménagé ses critiques à l’encontre de la journaliste Léa Salamé. « Tu m’avais dit qu’on ne dirait pas de gros mots », a-t-il lancé avant d’ajouter sans détour : « Je n’aime pas cette nana pour 1000 raisons ».

Selon ses propos durant l’émission, la rancune remonterait à une précédente rencontre où, affirme-t-il, Léa Salamé avait rapporté une formule qu’il nie avoir écrite. « Je me suis retrouvé en face d’elle dans une émission où elle a pris mon bouquin en disant : ‘Mais vous avez dit que toutes les femmes sont des salopes' », a raconté l’animateur, précisant qu’il lui aurait alors répondu : « Ah bon ? Faites-moi voir à quelle page. Je n’ai jamais écrit ça ».

Patrick Sébastien indique que Léa Salamé, au lieu de présenter une preuve, lui aurait expliqué avoir « oublié (s)on livre à la maison », une attitude qui l’aurait fortement irrité. Ces éléments sont rapportés du point de vue de l’animateur, et reflètent son interprétation de l’échange.

Jean‑Luc Mélenchon dans le viseur

Au-delà de sa critique de la presse, Patrick Sébastien a également ciblé Jean‑Luc Mélenchon lors du même entretien. Il a dressé un tableau critique du leader des Insoumis, en mêlant appréciation et accusations sur ses motivations politiques : « Il a une partie de conviction, c’est sûr. Mais surtout là, il a trouvé un réservoir à thune avec les musulmans parce qu’il faut savoir que les partis politiques sont rétribués par nous en fonction du nombre de voix. Là, tant qu’il flatte les musulmans, il a toutes les voix des musulmans donc ça fait de la thune. Je ne dis pas que c’est sa motivation première, mais ça y fait beaucoup ».

L’animateur a ensuite résumé son ressenti sur la dynamique interne du mouvement : « Il y a un truc qui me gêne dans les Insoumis. Moi, je suis un insoumis. Eux, ils sont soumis à leur chef. Tu ne devrais pas t’appeler les Insoumis, ils sont soumis aux décisions de Mélenchon. C’est pour ça qu’il y en a qui se sont barrés. » Ces propos traduisent une vision très critique mais personnelle de la structure politique évoquée.

Au fil de l’entretien, Patrick Sébastien a navigué entre anecdotes, jugements tranchés et provocations, un registre déjà présent dans sa communication publique depuis plusieurs années. Le ton employé reflète la position d’un animateur et auteur en pleine promotion, soucieux de marquer les esprits.

Les déclarations rapportées ici proviennent de l’entretien diffusé le 9 novembre 2025 sur Le Crayon et reflètent les propos de Patrick Sébastien au cours de cette émission.

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