Derrière les flashs et les tapis rouges, des confidences se murmurent parfois en coulisses. Selon plusieurs sources évoquées dans l’article d’origine, Meghan Markle, duchesse de Sussex et ancienne actrice américaine, se serait vu attribuer au sein de la famille royale un surnom discret : « DoW », abréviation de « Duchess of Windsor ». Ce sobriquet n’aurait jamais été prononcé en face de l’intéressée, mais aurait circulé dans les couloirs du pouvoir.
Un surnom chargé d’histoire
Le choix de l’appellation « Duchess of Windsor » n’est pas anodin. Il renvoie directement à l’histoire d’Edward VIII et de Wallis Simpson : le roi abdiqua en 1936 pour pouvoir épouser l’Américaine divorcée. Le parallèle établi par certains membres du palais lie deux profils perçus comme similaires — deux Américaines, deux femmes célèbres, deux mariages très médiatisés et la difficulté d’une intégration dans la royauté.
La comparaison est explicitée, dans le texte d’origine, par l’historienne et biographe Ingrid Seward. Elle rapporte que le Prince Philip « voyait tellement de similitudes ». Cette observation, rapportée via des sources secondaires, souligne une lecture historique de la présence de Meghan : non seulement comme une personnalité publique, mais comme un élément perturbateur pour des traditions ancrées.
Un sobriquet révélateur des tensions internes
Au-delà du clin d’œil historique, le surnom « DoW » fonctionne comme un marqueur émotionnel. Il traduit, selon l’analyse proposée, une forme d’appréhension — ou au moins d’interrogation — face à l’arrivée d’une personnalité extérieure, médiale et marquante, dans un système monarchique centenaire. Le mot murmuré révèle une manière de nommer pour classer, rassurer ou matérialiser une distance.
Dans la logique décrite, deux attitudes coexistent. D’un côté, la fascination : une Américaine glamour et engagée peut dynamiser l’image publique de la monarchie et attirer l’attention médiatique. De l’autre, la méfiance : la même présence est vue comme susceptible de modifier des équilibres internes. Le fait que le sobriquet ait été employé en privé plutôt qu’en face de Meghan est interprété comme un indicateur des rapports de force et de la retenue dans les échanges informels du palais.
Il est important de rappeler que ces éléments reposent sur des témoignages et des lectures historiques rapportés par l’article d’origine. Le surnom et les comparaisons sont évoqués comme des perceptions internes, plus que comme des affirmations officielles. Ils traduisent surtout une réaction contextuelle à l’inscription d’une figure nouvelle dans une institution conservatrice.
Une publication partagée via Instagram
Dans le texte original, apparaît la mention isolée « Une publication partagée via Instagram ». Aucun élément de contexte supplémentaire — date, auteur ou contenu précis de cette publication — n’est fourni par la source initiale. Cette mention suggère toutefois que des extraits ou des commentaires liés à ces confidences ont circulé sur les réseaux sociaux, sans que l’article en fasse une pièce documentaire pleinement vérifiée.
Qu’il s’agisse de murmures au sein du palais ou de reprises sur les plateformes publiques, l’usage d’un sobriquet comme « DoW » montre combien l’intégration d’une personnalité s’accompagne de lectures symboliques. Le phénomène est double : il révèle à la fois l’ampleur médiatique de Meghan Markle et la fragilité des codes internes face au changement.
Au final, ce petit nom murmur n’est pas seulement un mot juteux pour la presse people : c’est un symptôme. Il met en lumière les hésitations d’une institution soumise aux regards contemporains et la manière dont, en privé, on tente parfois de réinscrire une réalité nouvelle dans des cadres connus du passé.


