Maya Lauqué prend la défense de Léa Salamé face au cyberharcèlement : exhumation d’anciens JT et polémique sur la relance du 20H

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C’est un fauteuil exposé : on reçoit souvent les épines et rarement les roses. Depuis deux mois, Léa Salamé en fait l’expérience durement. Appelée pour remplacer Anne-Sophie Lapix après le refus de Caroline Roux, la journaliste a accepté la mission mais se retrouve aujourd’hui la cible d’un cyberharcèlement intense et répétitif. Ses journaux télévisés sont exhumés en permanence et la moindre erreur, même minime, lui est imputée comme une faute irréparable.

Une campagne de haine numérique qui ne faiblit pas

Le constat est simple et glaçant : depuis environ huit semaines, Léa Salamé subit une série d’attaques en ligne qualifiée d’« inouïe » dans les scènes médiatiques. Les auteurs de ces agressions remontent des séquences d’anciens JT, commentent, moquent et relaient. Le phénomène génère une usure visible pour une présentatrice dont le rôle consiste déjà à être constamment sous le feu des projecteurs.

On lit dans le récit initial que « la moindre erreur, aussi infinitésimale soit-elle, se révèle fatale ». Cette formule résume la mécanique du harcèlement : chaque image sort du contexte, chaque glissement de ton devient une preuve à charge. Le terme « cyberharcèlement » renvoie à des actions répétées sur les réseaux sociaux ; le texte d’origine ne détaille pas la nature précise des messages ou s’il y a eu des signalements officiels, et il convient donc d’être prudent sur l’étendue exacte des faits.

Des collègues qui prennent la défense de la journaliste

Face aux attaques, Léa Salamé reçoit des soutiens parmi ses pairs. Invité sur le plateau de C à vous le vendredi 31 octobre, Maya Lauqué — venue assurer la promotion d’un nouveau magazine breton qu’elle animera sur France 3 aux côtés de Laurent Romejko — a pris la parole pour la défendre.

« Ça me choque, ça m’agace », a lancé Maya Lauqué, en rappelant qu’elle connaît bien Léa Salamé pour avoir partagé des moments professionnels à iTélé (aujourd’hui CNEWS). Elle a ajouté : « Je connais la grande professionnelle qu’elle est, mais aussi la camarade et l’amie qu’elle est. Je sais sa force de travail, je sais sa volonté. Elle est formidable, elle a un grand talent. Ce serait bien qu’on la laisse travailler… et qu’on lui fiche un peu la paix. »

Titularisée à Télématin en début de saison, Maya Lauqué a elle aussi reçu la proposition d’occuper le poste que tient aujourd’hui Léa Salamé, proposition qu’elle a décliné, comme l’ont fait auparavant Anne-Sophie Lapix et Darius Rochebin, selon le récit d’origine. Le témoignage de Maya ajoute une dimension personnelle au débat : au-delà des chiffres et des audiences, il y a des relations humaines et une connaissance du métier qui, pour elle, plaident en faveur d’une mise à l’abri de la présentatrice contre les attaques publiques.

Audiences : un bilan contrasté

L’arrivée de Léa Salamé avait aussi pour objectif de redresser les audiences d’un JT en baisse. Les chiffres cités par Paris Match, rapportés dans le texte original, montrent un bilan en demi-teinte.

Sur la première partie du journal, la fréquentation est en retrait : moins 150 000 téléspectateurs sur un an. Entre 20h et 20h35 environ, Léa Salamé attire autour de 3,80 millions de personnes.

En revanche, la seconde partie enregistre une progression notable : +350 000 téléspectateurs sur un an, avec 3,69 millions de personnes en moyenne jusqu’à 20h50. Ces chiffres soulignent une réalité ambivalente : si la première moitié du JT perd du public, la deuxième capte davantage de téléspectateurs qu’auparavant. L’interprétation de ces données peut varier, mais elles confirment que la période d’accrochage entre présentation et attente des téléspectateurs reste soumise à des mouvements.

Un poste exposé, des enjeux multiples

Le cas de Léa Salamé illustre la difficulté du métier de présentateur·trice : geste professionnel, enjeux d’audience et exposition médiatique forment un trio qui rend toute nouvelle nomination sensible. Le récit transmis ne mentionne pas de mesures prises par la chaîne pour protéger la journaliste ni d’éventuelles démarches judiciaires. Il rapporte en revanche une atmosphère de harcèlement répétitif et la prise de parole de collègues pour contrer ce climat.

En l’état, les faits présentés montrent une figure médiatique confrontée à la double contrainte d’une mission annoncée — redresser les audiences — et d’un environnement numérique hostile. Les soutiens publics, comme celui de Maya Lauqué, apportent une réponse humaine à ce phénomène. Reste à observer si les attaques s’atténueront et si les résultats d’audience permettront à Léa Salamé de trouver plus de sérénité dans ce poste si exposé.

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