Vivian Grimigni a exprimé sa colère ce week-end sur Instagram après une scène qu’il juge « profondément dégoûtante » envers sa mère. L’influenceur, connu pour sa participation à la huitième saison de Secret Story, a raconté une altercation survenue lors d’une sortie au restaurant, où une femme aurait bousculé sa maman, toussé sur elle et pris des photos sans autorisation pour les transmettre à des blogueurs.

Le récit : bousculade, photos et diffusion

Dans sa publication, Vivian détaille les faits tels qu’il les a vécus. Alors qu’il était aux toilettes, « une femme est venue au restaurant, a bousculé ma mère, lui a toussé dessus sans même s’excuser… Puis, comme si c’était normal, elle a sorti son téléphone juste à côté d’elle pour la prendre en photo sans autorisation, et a envoyé ces images à des blogueurs pour dire où j’étais », a-t-il écrit.

Le message met en lumière deux éléments qui l’ont profondément blessé : l’absence d’excuses après un geste physiquement agressif et la mise en scène intrusive via des prises de vue non consenties. Selon Vivian, ces photographies ont ensuite été transmises à des tiers — des blogueurs — dans le but d’indiquer sa présence sur place. Il rappelle ainsi la difficulté pour les personnalités publiques de préserver un espace privé.

« On demande avant, on respecte » : une leçon de savoir‑vivre

L’influenceur a aussi tenu à rappeler un principe simple, selon lui trop souvent oublié : le respect élémentaire. « Oui, je suis un personnage public, mais avant tout, je suis un être humain — et ma mère, c’est une femme, pas un objet de curiosité. Prendre des photos avec moi (ou avec ma mère) ? Pas de problème — tant qu’il y a un minimum de savoir‑vivre : on demande avant, on respecte, on a de la décence », écrit‑il.

Cette mise au point se situe à l’intersection de deux réalités : celle de la célébrité, qui provoque parfois un déficit de retenue chez des tiers, et celle d’un respect basique attendu envers toute personne, y compris les proches des personnalités. L’affaire pose aussi la question de l’éthique des blogueurs et des médias qui relaieraient de tels clichés sans vérification ni consentement.

La mère, « tout juste d’une maladie » : un contexte de vulnérabilité

Vivian a précisé que sa mère sortait « tout juste d’une maladie » et se remettait « doucement le goût à la vie ». Il a insisté sur le caractère inapproprié et blessant de l’attitude dont elle a été victime, d’autant plus dans ce contexte de convalescence.

« Je n’ai pas besoin d’en parler, ni de chercher la pitié de qui que ce soit, mais j’aimerais simplement que certaines personnes comprennent que vous ne connaissez pas la vie des gens, ni ce qu’ils traversent », a‑t‑il ajouté. Ces mots soulignent la dimension intime et personnelle de l’incident, renforçant l’idée que la curiosité publique n’excuse ni l’irrespect ni l’atteinte à la dignité d’autrui.

Mise en garde et promesse de réaction

Très en colère, Vivian a prévenu qu’il ne laisserait pas passer une prochaine faute similaire : « Je ne suis pas un homme violent, mais la prochaine fois qu’il y aura un manque de respect, je ne laisserai pas faire. Même si on me filme, je n’en ai rien à foutre. »

Il conclut sa mise en garde par une remarque philosophique destinée à remettre les comportements en perspective : « Un jour, on partira tous. Même tombe, même poussière. Alors avant d’utiliser un téléphone pour nuire, souvenez‑vous que la vraie classe, c’est le respect. »

Sur les réseaux, ce type de message suscite des réactions contrastées, entre soutien à la famille et interrogations sur la place de la vie privée des personnalités publiques. Vivian, qui s’est imposé dans les médias grâce à Secret Story (8e saison), illustre à nouveau la difficulté pour les figures publiques de concilier exposition médiatique et protection de leur entourage.