Beyoncé repérée en abaya à Doha lors d’une virée shopping : photos virales, rappel du précédent Gisele Bündchen et débat sur la vie privée

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En voyage au Qatar, Beyoncé a tenté de passer incognito dans un centre commercial de Doha. Vêtue d’une abaya noire, de lunettes de soleil oversize et d’une attitude détendue, la superstar espérait éviter les regards. Mais la discrétion n’a pas suffi : des fans l’ont reconnue et plusieurs clichés ont rapidement circulé sur les réseaux sociaux, prouvant qu’il est difficile, même sous un voile, de rester anonyme lorsqu’on s’appelle « Queen B ».

La virée shopping qui ne passe pas inaperçue

Selon les images partagées en ligne, Beyoncé est sortie accompagnée et certains détails ont permis à des témoins de l’identifier : silhouette, entourage et accessoires ont contribué à lever le voile sur son identité. En quelques heures, les photos de sa présence à Doha ont été relayées internationalement.

Un message publié sur Twitter a notamment relayé l’information : « Beyoncé was spotted shopping in Qatar. https://t.co/BenlHZM1zL ». Ces publications montrent combien, pour une artiste de son calibre, l’anonymat demeure fragile, même lorsqu’elle mise sur une tenue couvrante.

Un précédent qui rappelle une stratégie similaire

Cette tentative d’échapper aux regards rappelle un épisode vécu par Gisele Bündchen quelques années plus tôt. Toujours d’après des médias anglo-saxons, la top brésilienne s’était rendue à Paris vêtue d’une burqa intégrale, accompagnée de sa sœur, pour se rendre dans une clinique privée.

Les comptes rendus indiquaient que Gisele aurait subi deux interventions — aux yeux et à la poitrine — pour un montant total annoncé d' »un peu plus de dix mille euros ». Les paparazzis avaient fini par dévoiler l’identité de la star en relevant des éléments matériels : mêmes sandales dorées qu’à son arrivée à l’aéroport, même sac à dos en cuir noir que sa sœur.

Réactions et enjeux

La couverture médiatique de cette affaire avait suscité des critiques. Le New York Post, cité à l’époque, avait estimé que le recours à un vêtement à forte connotation religieuse posait problème, écrivant : « Si tu ne voulais pas être vue, tu aurais pu choisir quelque chose de moins connoté, dénué de signification religieuse et culturelle. » Ces remarques avaient alimenté le débat sur les limites de la tentative de camouflage et sur la sensibilité culturelle entourant certains choix vestimentaires.

L’incident de Doha et le précédent parisien illustrent la même réalité : lorsqu’il s’agit de célébrités de première importance, les stratagèmes pour préserver l’intimité rencontrent souvent l’obstacle d’une visibilité accrue. Les photos et les indices partagés en ligne rendent difficile toute tentative durable d’anonymat, et soulignent la tension permanente entre désir de discrétion et fascination publique.

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