Le choix symbolique d’une parution le 7 octobre
Ce n’est pas un hasard si Arthur a choisi de dévoiler son premier livre un 7 octobre. Intitulé J’ai perdu un Bédouin dans Paris (Grasset), l’ouvrage transporte le lecteur deux ans en arrière et renvoie, selon le contexte donné par l’auteur, à une date devenue lourde de sens : le 7 octobre 2023.
Ce jour-là, l’attaque du Hamas contre Israël a fait, selon les bilans cités dans la presse, des milliers de morts, des disparus et des centaines d’otages. Depuis, Arthur multiplie les prises de position en réclamant la libération des personnes détenues. Ces déclarations publiques lui valent, d’après les informations rapportées, des critiques et même des menaces, un climat qui pèse évidemment sur sa famille.
Outre l’animateur, ce climat a un impact sur sa femme, Mareva Galanter, et leur jeune enfant, Manava. Malgré la tension et les pressions, la militante et ancienne reine de beauté n’a pas choisi de se mettre à l’abri du monde médiatique. Au contraire, elle continue de participer à des événements publics et de soutenir des causes qui lui tiennent à cœur.
Mareva Galanter au 6e Gala des Bonnes Fées
Le 8 octobre, Mareva Galanter a fait une apparition remarquée au 6e Gala de l’association Les Bonnes Fées, organisé à l’Hôtel Peninsula à Paris. Cette soirée vise à lever des fonds au bénéfice de femmes atteintes d’un cancer et à soutenir la recherche. L’association, portée par une dizaine d’anciennes Miss France, a été créée en 2015 et célébrait cette année ses dix ans.
Pour la native de Papeete, l’événement revêtait une importance particulière : « C’est fou quand on y pense. Quand on a commencé, on ne savait pas trop où on allait », a-t-elle confié lors d’une interview accordée à nos confrères de PurePeople. À ce jour, quatre maisons Les Bonnes Fées sont ouvertes en France et accueillent des patientes : à Lyon, Montpellier, Lille et Paris, cette dernière ayant été inaugurée le mois précédent au cœur de l’hôpital Bizet, précise le compte rendu de la soirée.
La présence de plusieurs reines de beauté lors de l’inauguration parisienne démontre, selon les organisateurs, la mobilisation continue des ambassadrices de l’association. Pour Mareva, il était donc impensable de manquer ce rendez-vous anniversaire aux côtés de ses camarades et amies engagées.
Une apparition élégante et mesurée
Sur le plan esthétique, Mareva Galanter a opté pour un total look noir, une longue robe bustier de la marque Juaozas, qui mettait en valeur sa chevelure et son port de tête. Elle a posé dans une suite de l’hôtel Peninsula, des images relayées sur les réseaux sociaux et reprises par la presse people.
Au-delà de l’apparence, sa présence envoyait un message : malgré les tensions liées aux prises de position de son mari, Mareva ne renonce pas à ses engagements caritatifs. La soirée des Bonnes Fées, axée sur le soutien concret aux femmes malades et sur l’extension des structures d’accueil, constituait un cadre approprié pour rappeler l’importance de la solidarité et de l’action collective.
En revenant sur dix années d’activité, Mareva a exprimé une sorte d’étonnement chaleureux face au chemin parcouru par l’association. Les fourchettes de dates et les lieux d’implantation mentionnés lors de la soirée restent ceux communiqués publiquement par Les Bonnes Fées et repris par la presse: fondation en 2015, quatre maisons actives aujourd’hui et une inauguration récente à l’hôpital Bizet.
Interrogée à la sortie de l’événement, la chanteuse et comédienne est apparue sereine, consciente des enjeux mais déterminée à poursuivre son rôle d’ambassadrice. À l’image de cette décennie d’engagement, sa présence illustre la volonté de conjuguer vie publique et actions solidaires, malgré un contexte personnel et médiatique parfois tendu.


