Faustine Bollaert harcelée par un fan : courriers macabres (cercueil biplace), roses noires, photomontages — appel à une meilleure protection des personnalités

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Invitée sur le plateau d’On refait la télé, diffusé sur RTL et animé par Éric Dussart et Jade, Faustine Bollaert a partagé des souvenirs qui oscillent entre l’anecdotique et l’effrayant. L’animatrice de Ça commence aujourd’hui a décrit des épisodes de harcèlement subis au fil des années, parfois surprenants, parfois inquiétants, et restés marquants pour elle.

Des lettres et un dossier macabre : « un cercueil biplace »

Faustine Bollaert a résumé la tonalité générale de ces rencontres : « J’ai eu plusieurs fois un peu des tarés, j’avoue », a-t-elle confié en souriant. Mais derrière l’humour, certaines histoires ont pris un tour sombre. Elle a notamment raconté l’épisode d’un homme qui lui envoyait une grande quantité de courriers. Au départ, l’animatrice n’était pas inquiète, puis un envoi particulier a tout changé.

Dans ce courrier, l’individu avait joint un dossier détaillé : des dessins, des estimations budgétaires et ce que Faustine décrit comme « un espèce d’audit du matériel radio ». Selon ses déclarations, le but déclaré par l’auteur était étrange et terrifiant : il expliquait vouloir l’installer dans sa cave, tout en assurant qu’elle « ne serait pas traumatisée puisqu’elle pourrait continuer son métier ». L’épisode prend une tonalité encore plus glaçante à la dernière page du projet, qui évoquait un « cercueil biplace » sur mesure pour qu’ils puissent « reposer ensemble ».

Faustine Bollaert et Éric Dussart ont choisi la dérision pour raconter cet épisode. Dussart a même concédé, sur le ton de la plaisanterie, que ce fan « pourrait être un très bon invité » pour son émission. L’animatrice, qui dit aujourd’hui en rire, précise cependant que ces situations ont parfois été réellement effrayantes.

Roses noires, photomontages et surveillance : le quotidien perturbé

L’envoi du dossier ne constituait pas la seule forme d’obsession. Faustine a évoqué une période pendant laquelle elle recevait des roses noires « tous les jours pendant une certaine période ». Elle a également relaté la réception de photomontages contenant des images obscènes et le fait d’avoir été suivie à plusieurs reprises. Ces éléments montrent l’éventail des comportements intrusifs auxquels une personnalité médiatique peut être confrontée.

La présentatrice n’a pas détaillé le contexte précis de chaque incident ni évoqué d’éventuelles démarches judiciaires dans le récit relayé lors de l’émission. Sur ce point, et en l’absence d’informations publiques supplémentaires, il faut rester prudent quant à la suite de ces affaires.

Des admirateurs aux demandes incongrues : « On me demande des photos de pieds tous les jours »

Parmi les comportements plus surprenants, Faustine Bollaert a mentionné des demandes répétées et fétichistes. « On me demande des photos de pieds tous les jours », a-t-elle confié. Certains admirateurs vont jusqu’à la complimenter pour ses « pieds extraordinaires » et surveillent ses apparitions à l’écran pour satisfaire ce type d’intérêt.

Interrogé sur ce phénomène, Éric Dussart a joué la carte de l’humour en lançant : « Vous êtes le pied préféré des Français ! » Cette remarque illustre la manière dont l’humour sert parfois de protection et de dédramatisation face à des comportements intrusifs. Mais le contraste entre la plaisanterie et le malaise soulevé par certains gestes reste net.

Réactions et posture publique

Faustine Bollaert apparaît, dans son témoignage, résolue à garder du recul et à relativiser, tout en reconnaissant l’aspect inquiétant de certains épisodes. Ce récit illustre la double contrainte des personnalités publiques : être visibles, appréciées et suivies, tout en subissant parfois des manifestations d’attention qui franchissent la ligne du respect et de la sécurité.

Sans informations supplémentaires publiques sur d’éventuelles suites judiciaires ou mesures prises, le récit de l’animatrice se place principalement sur le plan du témoignage personnel. Il rappelle néanmoins la nécessité, pour les figures médiatiques, de disposer de moyens de protection et de réponses adaptées face au harcèlement et aux comportements obsessionnels.

Enfin, lors de l’émission, d’autres contenus liés à son portrait ou partagés sur les réseaux sociaux ont été évoqués, y compris des publications Instagram. Faustine Bollaert privilégie aujourd’hui l’humour et la distance pour évoquer ces épisodes, tout en soulignant leur caractère parfois effrayant.

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