Poupette Kenza renonce à sa reconversion médicale : entre choix familial, licence SVTC à Dubaï et soupçons d’opération de communication

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Figure contrastée et souvent au centre des débats sur les réseaux sociaux, Kenza Benchrif — connue sous le pseudonyme Poupette Kenza — a surpris une nouvelle fois ses followers et les médias people. À 25 ans, mère de trois enfants et installée à Dubaï, elle avait annoncé le 31 août 2025 vouloir quitter l’activité d’influence pour se lancer dans des études visant, selon elle, à devenir médecin. Moins de six semaines plus tard, le 7 octobre, elle a annoncé l’arrêt de ce projet universitaire, invoquant une vie familiale trop chargée et la nécessité de se recentrer sur ses enfants. Ce revirement rapide relance les interrogations sur la sincérité et la réalité de sa reconversion.\n\n

Un projet très médiatisé

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À l’annonce de sa « reconversion », les médias people et ses abonnés avaient largement relayé l’information, saluant d’abord l’ambition d’un nouveau départ. Pour certains, ce projet était perçu comme une tentative sérieuse de se reconstruire après une période difficile, marquée notamment par des démêlés judiciaires et une incarcération — remontant à la période de juillet à octobre 2024 — qui avait affecté son image publique.

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Poupette Kenza avait présenté ce choix comme une rupture nette avec son passé d’influenceuse, une volonté de revenir à des bases professionnelles plus « solides » et d’embrasser une carrière médicale longtemps rêvée. Cependant, dès les premières semaines, des zones d’ombre et des imprécisions ont émergé autour de la nature exacte de ses études.

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Un cursus différent de la médecine

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Alors que certains titres évoquaient une entrée en faculté de médecine, il est rapidement apparu que Kenza Benchrif n’était pas inscrite en PASS ni en LAS, les voies françaises menant directement aux études médicales. Elle était, d’après les informations disponibles, inscrite en licence Sciences de la Vie, de la Terre et Chimie (SVTC).

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Cette licence est un cursus scientifique qui peut, dans certains cas, ouvrir des passerelles vers la santé, mais elle n’offre pas d’accès automatique ni direct aux études de médecine. La différence entre une inscription en SVTC et une admission en PASS/LAS a alimenté les débats : certains observateurs ont estimé que la présentation initiale de son projet pouvait prêter à confusion.

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Kenza avait également déclaré avoir été « acceptée ailleurs » avant de rencontrer des difficultés administratives. Ces éléments, relayés par l’intéressée, n’ont pas pu être vérifiés de manière indépendante, et leurs contours restent flous, ce qui a renforcé les doutes chez une partie du public.

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Des raisons personnelles invoquées

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Dans sa communication du 7 octobre, publiée notamment via Instagram, Kenza Benchrif a expliqué que la charge de son quotidien familial — trois jeunes enfants — rendait incompatible la poursuite d’études scientifiques exigeantes. Elle a évoqué l’organisation, les horaires et la charge mentale comme facteurs déterminants de sa décision de se retirer.

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Pour beaucoup, ce motif est compréhensible : concilier des études supérieures, surtout dans un domaine scientifique, et la gestion d’une fratrie demande des conditions matérielles et un soutien logistique importants. Plusieurs abonnés ont témoigné de leur empathie, saluant son honnêteté et son choix de placer ses enfants au cœur de ses priorités.

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Réactions et interrogations

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La décision d’abandon a toutefois suscité des réactions contrastées. Une partie de sa communauté a exprimé compréhension et soutien, tandis qu’une autre a formulé des critiques plus sévères, évoquant une stratégie de communication destinée à générer du buzz. Ces accusations s’appuient sur la rapidité du revirement et sur les imprécisions qui entourent la nature réelle de son inscription universitaire.

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Au-delà des polémiques, cet épisode illustre les attentes contradictoires auxquelles sont confrontées les personnalités publiques : recherche de crédibilité d’un côté, exigence de transparence de l’autre. Dans le cas de Kenza Benchrif, la succession d’annonces publiques — de l’annonce d’un virage professionnel à l’arrêt rapide du projet — alimente la conversation médiatique et interroge sur la frontière entre vie personnelle, communication et reconstruction publique.

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Sans éléments supplémentaires vérifiables sur la nature exacte des admissions évoquées par l’influenceuse, il reste difficile d’établir avec certitude si cette reconversion était davantage un projet réel mal engagé ou une opération de communication inaboutie. Reste que, pour l’heure, Kenza Benchrif a clairement exprimé son intention de prioriser ses enfants, et c’est cet argument qu’elle a mis en avant pour expliquer son retrait.

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