La vingtième saison de L’amour est dans le pré réserve, une fois encore, son lot de tensions, de rires et de petites déceptions. Dans le prochain épisode présenté par Karine Le Marchand, plusieurs agriculteurs vont voir leurs rendez‑vous évoluer rapidement : des retrouvailles attendues, des mises en garde franches et des rapprochements qui se jouent à quelques gestes ou mots.
Laurent accueille ses deux prétendantes : attentes et désillusions
Laurent, éleveur de brebis et de vaches Aubrac en Ardèche et veuf depuis deux ans, reçoit à la ferme Laurence et Françoise, deux prétendantes rencontrées au speed dating à Paris. Laurence arrive la première et découvre les nombreux chiens de l’exploitation tandis que Françoise est en route vers la ferme.
Malgré la situation de « compétition » avec sa rivale, Françoise prend les choses avec humour. Elle lâche ainsi : « J’appréhende pas du tout Laurence, j’ai pris un peu d’arsenic que je mettrai dans son verre ». Une plaisanterie qui illustre son assurance mais aussi la confrontation douce qui s’installe entre les deux femmes.
Sur place, si des points communs rapprochent la seconde prétendante de l’agriculteur — notamment des souffrances sentimentales passées — la rencontre n’évite pas une déception pour Laurent. Son coup de cœur du speed dating lui avoue qu’elle n’aime pas cuisiner « à quatre mains », une réticence qui semble peser dans la relation naissante.
Banquet et stratégie : les Sophies avec Jean‑Louis
Dans le Tarn, Jean‑Louis convie ses prétendantes à un test en public : présenter les deux Sophie à ses amis lors d’un banquet rassemblant 50 personnes. Avant ce grand repas, l’une des Sophie profite d’un petit‑déjeuner pour se rapprocher du candidat, tandis que l’autre gagne les faveurs de la mère de Jean‑Louis, en partie grâce à sa foi en l’Église.
Au fil des échanges, Sophie dite « la brune » prend l’avantage. Sophie « la blonde », plus réservée, se retrouve souvent aux côtés de la mère du candidat et joue la carte de la « belle‑maman », ce qui finit par limiter son contact direct avec Jean‑Louis pendant le banquet.
Fous rires et déceptions chez Jean‑Baptiste
Jean‑Baptiste accueille à son tour deux prétendants venus de Paris, David et Steven. David arrive en premier et parvient à créer de la complicité avec l’agriculteur en attendant Steven. Un moment de légèreté éclate lorsque l’un des paons de la ferme se perche sur une barrière ; David commente alors, sur un ton très libre : « Ça nique de partout », provoquant l’hilarité générale.
L’arrivée de Steven va bouleverser l’équation : s’il reste le favori de Jean‑Baptiste, ses préférences — ne pas dormir dans la roulotte et être végétarien — lui font perdre des points auprès de l’agriculteur, qui prend ces révélations en compte dans la suite de ses choix.
Océane : la friendzone s’installe
Océane, elle, poursuit son questionnement face à Florian et Robin. Dans cet épisode, elle constate que Florian commence à s’installer dans ce qu’elle décrit comme la « friendzone » : « Florian se projette mais je n’ai pas dépassé ce stade amical, je suis mal à l’aise », confie‑t‑elle aux caméras de M6. Face à cette franchise, Florian évoque un « petit électrochoc » mais tente de garder la philosophie.
De son côté, Robin marque des points en proposant une activité ludique : un cours de tennis. Cette sortie sportive permet un rapprochement plus naturel entre la prétendante et son candidat, et fait pencher la dynamique affective en sa faveur.
Autres moments clés du prochain épisode
Plusieurs séquences viennent compléter ce numéro : Clément et Florent débarquent chez Célia, éleveuse de chevaux, et passent leur premier jour en coulant une dalle de béton — une immersion concrète dans le quotidien agricole. Pierrick, quant à lui, propose à Livie et Valérie un moment détente au spa ; la scène du sauna est particulièrement mise en avant et ouvre la porte à des instants plus intimes, notamment un passage convivial dans le jacuzzi.
Enfin, Sylvie observe, au fil des heures, un rapprochement grandissant entre Jean‑Louis et sa rivale Isabelle. Consciente que ses chances s’amenuisent, elle laisse échapper quelques larmes, signe que les émotions et la compétition restent palpables jusqu’aux derniers instants.


