Mort de Régine : le documentaire sur Paris Première suscite une polémique — Caroline Margeridon critiquée pour ses remarques sur la chirurgie esthétique

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Le 6 octobre, Paris Première a programmé en deuxième partie de soirée un documentaire consacré à Régine, disparue le 1er mai 2022 à l’âge de 92 ans. Intitulé Je m’appelle Régine et je vous emmerde, le film revient sur la carrière et la personnalité de celle que la chaîne présente comme « une femme de la nuit, l’interprète d’une poignée de tubes, une figure médiatique ». Né(e) à Etterbeek en Belgique, Régine a traversé cinq décennies d’excès et d’audace, selon le documentaire, et ses proches sont revenus sur cette vie intense et singulière. p>

Un portrait de la « reine de la nuit »

Le documentaire propose des témoignages et des archives pour dresser le portrait d’une artiste à multiples facettes. En cinquante ans, lit-on dans la présentation, la native d’Etterbeek « a tout osé ». Les intervenants racontent son parcours de meneuse de nuit, sa présence médiatique et quelques-uns de ses succès musicaux, sans pour autant prétendre épuiser une carrière riche en anecdotes.

Plusieurs proches et amis ont accepté de s’exprimer devant la caméra, apportant des regards souvent contrastés sur les choix et l’attitude de Régine. Le film met notamment en lumière des aspects plus intimes de sa vie, dont ses rapports à l’image et au corps.

La chirurgie esthétique au cœur des échanges

Parmi les sujets abordés figure la chirurgie esthétique. Le documentaire indique que Régine y a eu recours à plusieurs reprises. Cette dimension a suscité des réactions franches de la part de ses amis, à commencer par le réalisateur Claude Lelouch, présenté dans le film comme âgé de 87 ans. Il confie au sujet des interventions : « Je lui ai dit : ‘Arrête de faire toutes ses conneries. Tu es en train de te défigurer […] Laisse la nature t’accompagner jusqu’au bout’ ». Cette mise en garde traduit l’inquiétude d’un proche face aux transformations visibles de la chanteuse.

L’antiquaire et personnalité télévisuelle Caroline Margeridon, également amie de Régine, prend la parole à son tour. Elle se présente comme « pour la chirurgie esthétique » mais souligne qu’il existe « des limites ». Dans un passage qui a particulièrement retenu l’attention, elle livre une confidence intime au sujet d’une intervention surprenante : « Elle s’était fait la foufoune. Le truc improbable. Comment on peut penser à se refaire la foufoune à 80 ans ? »

Ce propos, rapporté tel quel dans le documentaire, a rapidement circulé sur les réseaux sociaux. L’extrait a provoqué un important buzz et de vives réactions, obligeant Caroline Margeridon à répondre publiquement aux critiques.

La défense d’une amie et la polémique sur les réseaux

Après la diffusion de l’extrait, Caroline Margeridon a publié une réaction en marge de la publication Instagram de Paris Première. Dans un message virulent, elle dénonce « les mauvaises langues, les méchantes personnes, les aigri(e)s, toutes les personnes qui visiblement n’ont absolument pas de vie et aucune délicatesse ». Elle y défend son souvenir de Régine : « Régine était comme une mère pour moi, c’était une femme libre, drôle et cette histoire de chirurgie, elle l’a raconté à tous ses amis en riant ! »

La protagoniste ajoute : « Évidemment les mauvaises langues vous n’étiez pas au courant. Je ne peux pas vous en vouloir. Mais je ne vous permets pas de me juger ». Sa prise de parole vise à tenir à distance les critiques jugées malveillantes et à rappeler le caractère complice de la relation qu’elle entretenait avec la chanteuse.

Le documentaire et les réactions qui ont suivi montrent à la fois l’attachement que suscite Régine et la sensibilité du sujet de la chirurgie chez les personnalités publiques. Les témoignages rassemblés tentent de restituer une image composite : une femme qui a assumé ses choix, y compris corporels, et qui a provoqué des opinions contrastées parmi ses proches et le public.

Sans prétendre trancher les débats, Je m’appelle Régine et je vous emmerde offre une chronique humaine de la fin de vie médiatique d’une artiste dont le nom reste associé aux nuits parisiennes et à une certaine liberté de ton. Le film s’appuie sur des confidences d’amis, dont certaines ont été relayées et commentées sur Instagram par Paris Première, provoquant cette fois des échanges publics entre proches et internautes.

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