Miss France 2026 : Aïnhoa Lahitete, 19 ans, Miss Aquitaine — études entre médecine et droit, passion rugby, candidate au sacre le 6 décembre au Zénith d’Amiens

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La société Miss France et TF1 ont confirmé plusieurs détails concernant l’élection de Miss France 2026. La cérémonie se tiendra le 6 décembre prochain au Zénith d’Amiens, la même soirée que le Téléthon. C’est à cette date qu’Angélique Angarni-Filopon, actuelle détentrice de la couronne, achèvera son mandat et remettra son écharpe à la nouvelle élue.

Trente reines de beauté seront en lice pour succéder à Miss Martinique. Parmi elles figure Aïnhoa Lahitete, élue Miss Aquitaine le 5 décembre. Âgée de 19 ans, elle représente le Pays basque et suscite l’intérêt des observateurs pour son profil atypique mêlant études, tempérament franc et pratique sportive.

Une jeune femme entre études et reconversion

Aïnhoa Lahitete est originaire d’Hendaye, dans le sud des Pyrénées-Atlantiques. D’abord inscrite en faculté de médecine avec l’objectif de devenir dentiste, elle a fait une pause dans ce parcours après « une année très dure mentalement », selon ses propres mots. Elle poursuit désormais des études de droit à Bayonne — cursus qu’elle devra toutefois suspendre si elle remporte la couronne nationale le 6 décembre.

La candidate se décrit comme « franche, sincère, toujours souriante et sociable », mais reconnaît aussi être parfois « un peu tête en l’air ». Ces traits de personnalité semblent bien assortis à son profil public : naturel et accessible, tout en affichant une ambition mesurée face à l’échéance du concours.

Rugby, famille et double vie de sportive et de candidate

À 1,73 m, Aïnhoa n’hésite pas à mêler talons et crampons. Passionnée de sport, elle a pratiqué le rugby dès l’adolescence aux côtés de sa sœur jumelle, Loréna, après des tentatives à l’escalade et au handball. Elle vient d’une famille de rugbymen : « Mon grand-père, mon père et mon tonton jouaient au Stade Hendayais. Mon frère est au pôle rugby à Bayonne et joue à l’Aviron », a-t-elle confié au quotidien Sud-Ouest.

Elle-même est passée par le Stade Hendayais puis par Urrugne avant de ralentir sa pratique pour se consacrer à ses études. Interrogée par le média Herstory sur Instagram, elle a avoué avec humour qu’elle aurait aimé « être un garçon juste pour être professionnel au rugby ». Son objectif est désormais clair : après avoir décroché la couronne de Miss Aquitaine, elle espère « transformer l’essai » à Amiens le 6 décembre.

Une publication partagée via Instagram

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Contexte historique et enjeu régional

Si Aïnhoa venait à l’emporter, ce serait un moment marquant pour le Pays basque. La dernière et unique Miss originaire de cette région reste Agnès Souret, élue en 1920 lors de la première édition du concours Miss France. Près d’un siècle plus tard, la perspective qu’une Basque renouvelle cet exploit ajoute un angle symbolique à la compétition.

Le concours national rassemblera trente candidates issues des différentes régions. À l’approche de la soirée du Zénith d’Amiens, l’attention se portera autant sur les parcours personnels que sur la capacité des prétendantes à incarner le rôle médiatique et social attendu d’une Miss France.

Retrouvez l’intégralité des Miss régionales en lice pour le concours national dans notre article complet juste ici.

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