Mohamed Bouhafsi opéré en urgence pour double panaris, risque d’amputation : le journaliste de C à Vous alerte contre le rongement d’ongles et appelle à la prévention

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Mardi 26 août 2025, le journaliste Mohamed Bouhafsi, 33 ans, a partagé un cliché pris aux urgences après avoir été admis pour une infection à la main. Quelques jours avant sa rentrée télévisée — il doit remplacer Anne-Elisabeth Lemoine dans C à Vous, le vendredi et le week-end sur France 5 — le chroniqueur a expliqué que le stress l’avait conduit directement à l’hôpital.

Un geste banal, des conséquences graves

Sur NRJ, le 27 août 2025, lors d’un entretien avec Camille Combal, Mohamed Bouhafsi a raconté les circonstances qui l’ont mené aux urgences. « Si j’avais un message à porter aujourd’hui, un message sérieux et important : arrêtez de vous ronger les ongles ! » a-t-il lancé, insistant sur le caractère anodin mais potentiellement dangereux du comportement.

Il a précisé : « Je sais que, Camille, on est des gens stressés, anxieux et exigeants. Je me suis rongé les ongles. C’est très mauvais ». Selon ses propres mots, il a « laissé traîner quatre jours, ce qui a déclenché une double infection qui a pris toute la main ». Le problème a rapidement dégénéré, entraînant douleur intense et fièvre.

Mohamed Bouhafsi a décrit des nuits sans sommeil et une fièvre élevée : « je n’ai pas dormi de la nuit avec 40° de fièvre, de la transpiration, etc ». Le diagnostic rendu par les médecins a été clair : un « double panaris qui s’est infecté ». Il a insisté sur la douleur : « C’est extrêmement douloureux ».

Une opération en urgence et des risques alarmants

Face à l’aggravation de l’infection, le journaliste a été opéré en urgence. Il rapporte que son médecin lui a expliqué les complications possibles, dont l’amputation. Plus grave encore, on lui a évoqué la menace d’une septicémie, une infection généralisée qui peut être mortelle si elle n’est pas traitée rapidement.

Ces éléments donnent la mesure du danger encouru. Mohamed Bouhafsi a rappelé qu’il « était moins une », soulignant que l’intervention rapide des soignants a probablement fait la différence entre une issue maîtrisée et une évolution dramatique.

Il n’a pas détaillé l’intervention chirurgicale ni le calendrier précis de sa convalescence. Ces informations complémentaires n’apparaissent pas dans les déclarations publiques qu’il a faites au moment de l’hospitalisation.

Remerciements publics et appel à la prévention

Le 26 août 2025, depuis la clinique des Peupliers, Mohamed Bouhafsi a publié un message de gratitude sur les réseaux sociaux : « On a quand même les meilleurs soignants du monde. Merci à tous les soignants de la clinique des Peupliers pour leur bienveillance ce matin aux urgences ». Ce remerciement a été repris et confirmé lors de son intervention sur NRJ.

Au micro de Camille Combal, il a ajouté : « J’ai été reçu formidablement bien. Comme quoi, on a une influence. Il y a peut-être des infirmiers qui nous écoutent, des soignants, etc ». Son discours mêle reconnaissance envers l’équipe médicale et volonté d’alerter le public sur un geste quotidien qui peut s’avérer dangereux.

Sans dramatiser, le témoignage de Bouhafsi vise clairement à sensibiliser : une hygiène simple et l’arrêt d’une habitude comme le rongement des ongles peuvent prévenir des complications sévères. Son message se veut à la fois personnel et préventif.

Contexte professionnel et répercussions

Cette hospitalisation intervient à la veille d’une période importante pour le journaliste, qui doit occuper la place laissée par Anne-Elisabeth Lemoine dans l’émission C à Vous sur France 5. Il n’a pas précisé si son état de santé retardera sa reprise d’antenne ou modifiera le planning annoncé.

Dans l’immédiat, ses déclarations publiques mettent en lumière l’efficacité des soins reçus et un message de prudence adressé à ceux qui, comme lui, vivent avec une forte tension quotidienne. Les informations disponibles proviennent principalement de ses interventions sur NRJ et de son post publié le 26 août 2025.

Le cas de Mohamed Bouhafsi rappelle que des incidents apparemment mineurs peuvent évoluer rapidement et que la prise en charge médicale précoce reste essentielle pour éviter des conséquences graves.

Society News

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