Franck Dubosc ne passe pas inaperçu — et pas seulement pour son public. L’humoriste et comédien, présent à l’affiche de la série Loups Garous sur Netflix, voit sa notoriété affecter aussi bien sa vie privée que celle de sa famille. Marié à Danièle, il est père de deux garçons : Raphaël, 14 ans, et Milhan, 11 ans. Lors de son passage dans l’émission En privé avec de Purepeople, il a évoqué la gêne que suscite parfois sa célébrité auprès de ses enfants.
Des enfants qui préfèrent rester discrets
Selon Franck Dubosc, ses fils n’apprécient pas d’être associés à sa notoriété. « Ils détestent ça, le grand n’a absolument jamais aimé », a-t-il confié. Il explique qu’il tente d’expliquer la contrainte sociale des photos, mais que ses fils souhaitent clairement éviter d’être identifiés comme « les fils de Franck » lorsqu’ils vont à l’école ou jouent au foot.
« Quand on me demande une photo, j’essaie de lui expliquer qu’on ne peut pas dire non à une photo pour des gens, c’est comme ça. Quand ils font la rentrée dans leur école, quand ils jouent au foot, on évite que ce soit moi au début. Ils n’ont pas envie d’être les fils de Franck. Je sais que pour eux, c’est lassant, c’est minant. Ils ont horreur de ça. Ils le comprennent parce qu’ils l’ont toujours vécu mais ils n’aiment pas ça », a-t-il ajouté, décrivant un malaise ancien et bien installé.
Ce témoignage, rapporté par l’émission, illustre la difficulté pour des enfants d’une célébrité d’avoir une vie scolaire et sportive « normale ». Franck Dubosc souligne la volonté de ses fils de garder leur anonymat au quotidien, malgré la notoriété familiale.
Raphaël, entre football et kiné : un avenir sportif envisagé
Pour l’instant, le cinéma ne semble pas attirer Raphaël et Milhan. À l’inverse, Raphaël se montre passionné de football. Son père le soutient régulièrement et partage parfois des moments d’entraînement lorsqu’il assiste aux matches ou aux séances.
Récemment, le duo père-fils a été pris en charge par un kinésithérapeute sportif à Nice, Sébastien Di Martino. Ce dernier a publié une photo du rendez-vous et a salué l’attitude du jeune garçon : « Un vrai plaisir de prendre en charge Raphaël Dubosc. Respectueux, gentil, investi et avec un mental de futur pro. C’est toujours motivant d’accompagner des jeunes qui donnent tout pour progresser et aller au bout de leurs objectifs. »
La publication de ce professionnel met en lumière l’engagement de Raphaël dans sa pratique. Le commentaire insiste sur le sérieux et la détermination du jeune, sans pour autant garantir une future carrière professionnelle — formulation à lire comme une appréciation du thérapeute et non comme une prédiction.
Visibilité et protection : un équilibre délicat
La photographie partagée par le kinésithérapeute a attiré l’attention, d’autant que Raphaël ne semble pas très présent sur les réseaux personnels. « S’il n’a pas de photo sur son profil Instagram, on peut dire que cette photo risque de donner envie à de nombreuses personnes à le suivre », note l’article original, observation à prendre comme une hypothèse sur l’impact potentiel d’une image publique.
Franck Dubosc décrit une stratégie consciente : préserver l’intimité de ses enfants autant que possible et limiter les situations où ils seraient placés sous le feu des projecteurs. Cette posture, courante chez les personnalités publiques, vise à permettre aux enfants de grandir loin de la pression médiatique et des attentes liées au nom familial.
En filigrane, le récit montre combien la célébrité d’un parent peut compliquer la normalité du quotidien pour des adolescents. Entre soutien familial, activités sportives et souhait de discrétion, la famille Dubosc cherche un compromis entre visibilité et protection. La récente anecdote autour de Raphaël et du kiné sportif rappelle que, parfois, une simple photo suffit à rappeler leur lien avec la notoriété de leur père.