Le 21 mars dernier, Agathe Auproux a annoncé à ses abonnés qu’elle attend son premier enfant. À 33 ans, la journaliste et animatrice a confirmé sa grossesse dans son podcast Oui, mais et a depuis multiplié les confidences sur les mois qui précèdent l’arrivée du bébé.
Une maman « intransigeante » sur la scolarité
Dans son émission, Agathe Auproux a dévoilé sa vision de l’éducation qu’elle souhaite offrir à son futur enfant. Loin de se projeter en mère étouffante sur tous les plans, elle dit vouloir poser des limites claires quand il s’agira de l’école et de l’apprentissage : “Tout ce qui va toucher à la scolarité, à l’apprentissage, ça va être mon domaine”, a-t-elle affirmé, sous le regard de son époux. “Ça va être très important pour moi.”
Elle justifie cette position par l’exemple familial : sa mère était professeure de français et a passé toute sa carrière dans l’éducation nationale. “Elle avait envie qu’on s’épanouisse à l’école et qu’on réussisse”, explique Agathe, qui ajoute : “Moi, là-dessus, je vais être intransigeante et poser un cadre strict.” Ces déclarations tracent le contour d’une éducation centrée sur la réussite scolaire, assumée publiquement par la future maman.
Césarienne programmée et fragilité émotionnelle
L’approche de la naissance n’est toutefois pas exempte de difficultés. Agathe Auproux a révélé qu’elle ne pourra pas accoucher par voie basse en raison d’une complication liée à la position de son placenta. Sur Instagram, le 31 juillet dernier, elle a expliqué : “La mauvaise position de mon placenta empêche un accouchement par voie basse, le bébé ne peut littéralement pas sortir tout seul : donc césarienne programmée avant le terme. Plus précisément : avant le début du travail spontané, pour nous protéger et éviter une grosse hémorragie.”
La journaliste précise aussi connaître la date de l’intervention depuis plusieurs semaines : “S’il n’y a pas de complications d’ici là, je sais donc exactement quand je vais rencontrer mon fils. C’est imminent.” Ces mots traduisent à la fois l’attente et la préparation méthodique de l’événement médical à venir.
Parallèlement, Agathe a évoqué une période de fragilité psychologique. Elle a indiqué souffrir d’une dépression prénatale, un trouble qui pèse sur son quotidien pendant ces derniers mois de grossesse. Elle lie en partie cet état aux perturbations extérieures qu’elle traverse, comme le stress logistique et l’insomnie.
Un déménagement chaotique à l’approche du bébé
Au-delà des questions de santé, la future maman fait face à une instabilité immobilière qui l’affecte profondément. “Je ne sais en revanche toujours pas où mon fils va habiter”, a-t-elle confié en story Instagram. Elle rappelle à ses abonnés les déménagements successifs qu’elle et son compagnon ont connus pendant la grossesse et décrit un climat d’angoisse : “À + 8 mois on est toujours dans ce marasme immobilier, toujours ces retards, toujours ces déceptions, toujours ces angoisses, toujours cette urgence, toujours cet inconfort.”
Actuellement logée chez la famille de son mari, Agathe explique que la situation est devenue intenable à l’approche du terme : “À 33 ans mdr, à deux doigts d’accoucher, je vis dans des sacs, je ne sais même plus où sont stockées mes affaires, je n’ai aucune visibilité. Ce contexte participe largement à mon état dépressif. Et les insomnies n’aident pas.”
Elle tempère toutefois ses confidences par une note d’espoir et de lucidité : “Il y a bien pire que moi, je le sais, et les choses vont rentrer dans l’ordre, je le sais, et je vais me sentir mieux un jour, je le sais. Je le sais.” Ces répétitions traduisent l’effort de se rassurer malgré la pression du moment.
Malgré les embûches — contraintes médicales, état psychologique fragilisé et incertitude sur le logement — Agathe Auproux affirme être prête à devenir mère. Entre organisation stricte de l’éducation future et préparation pratique d’un accouchement programmé, la journaliste traverse les dernières semaines de sa grossesse sous le regard attentif de son entourage et de ses abonnés.
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